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LA BALADE DE L’HABITAT RURAL Noville-sur-Mehaigne

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Trail stats

Distance
4.53 mi
Elevation gain
49 ft
Technical difficulty
Easy
Elevation loss
49 ft
Max elevation
500 ft
TrailRank 
50
Min elevation
443 ft
Trail type
Loop
Coordinates
180
Uploaded
June 28, 2021
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near Harlue, Wallonia (Belgique)

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Itinerary description

7 km - environ 2h
Thème de la balade
Avant la fusion des communes de 1977, Noville-sur-Mehaigne était le seul village de la vallée de la Meuse faisant partie du Brabant. Désormais rattaché à la province de Namur, il est limité au nord par la chaussée romaine. Les vestiges retrouvés le long de cette voie antique indiquent que Noville ou "Neuve Ville" devait être habité dès la période gallo-romaine. Le village compte encore trois grosses fermes hesbignonnes et plusieurs plus petites fermes bi- ou tri-cellulaires. On y trouve aussi des exemples de l’architecture typique de la période 1850 - 1950 en Hesbaye. Le village est arrosé par la Mehaigne qui y reçoit le ruisseau d'Aische (le Nachau) et le ruisseau de Liernu avant de suivre son cours vers Taviers où il reçoit la Visoule qui prend sa source à Noville.
Consignes de sécurité
Soyez prudents, la chaussée de Louvain et la route de la Hesbaye sont très fréquentées. Bottes conseillées.
Repères de l'itinéraire
Transformée en maison d’habitation, la gare de Noville-Taviers, située sur la ligne 142 reliant Namur et Tirlemont, était auparavant la gare de départ de l’étroit train Zaman allant à Ambresin de 1879 à la première guerre mondiale, et puis ensuite celle du vicinal allant à Boneffe et à la sucrerie de Ramillies des années 1920 aux années 1950. La petite colonne en fonte devant le parking marquait la limite entre les deux installations du chemin de fer. Juste à côté, l’hôtel de la gare comptait 4 chambres !
1.Départ de la balade : route de la Hesbaye, à l’ancienne gare de Noville (n°97) sur le parking destiné aux utilisateurs du RAVeL. 2. Du petit parking, traverser la route de la Hesbaye et prendre le RAVeL. 3. Un peu plus loin, prendre à droite l’escalier qui rejoint le petit sentier le long du champ en contrebas. Il rejoint la rue Sous La Vaux. 4. Prendre la rue Sous La Vaux à droite, pour un petit aller-retour jusqu’à la route de la Hesbaye. Au n° 57 de cette route : un bel exemple d’architecture du début du XX e , où l’on retrouve des éléments Art nouveau et Art déco. Nombre des maisons de la rue, entre la gare et la chaussée de Louvain, ont été construites entre 1900 et 1950 avec des briques fabriquées sur place dans des briqueteries temporaires.
5. Redescendre la rue Sous La Vaux et la suivre vers la droite. Au n° 33 : la plus vieille maison du village (1753), rénovée.
6. Dépasser la ruelle de la Dîme à droite puis (7) traverser prudemment la chaussée de Louvain et prendre en face la rue Louis Allaert. À gauche (derrière le portail en bois) : l’ancien moulin à eau. La roue, située à l’arrière, sous le clocheton dont on voit la pointe au-dessus du toit, était mue par une dérivation de la Mehaigne. Il existait déjà sous l’Ancien Régime et, à partir de 1743, a fait partie des dépendances du château qui se situe un peu plus loin. Il a été en activité jusque 1952 avant d’être transformé en café puis en habitation. À droite, au n° 14, la "Maison des œuvres" : salle paroissiale construite en 1934 par le curé Meunier. L’architecture incorpore des éléments du vocabulaire Art déco.
En face, derrière les feuillages des arbres du parc : le château de la Motte, vaste bâtiment en briques de trois étages, de style néo-classique, dont les fondations reposent sur des chênes entiers servant de pilotis. Il fût construit en 1860 à la place de l’ancien château-fort de Noville, dont la seigneurie existait déjà au XIVe siècle et qui était plus grand et entouré d’eau. Le château, acheté par le baron de Jamblinne de Meux en 1927, fut agrandi (et asséché) en 1928. La baronne qui ravitailla la Résistance dès 1940, fut dénoncée et déportée avec ses deux fils en 1943. Seul, un de ses fils en revint. Le château abrite actuellement le siège de Vésale Pharma, leader européen en solutions microbiotiques. À droite, on découvre le mur du cimetière qui entoure l’église. Ne pas prendre la ruelle de la Sacristie qui remonte à l’église. Seule église de l’entité d’Eghezée à être dotée de deux clochetons, l’église Saint-Philibert, achevée en 1864, fut construite pour remplacer l’église de 1750, détruite car devenue trop petite et vétuste. Son style est éclectique : avec des éléments classiques, romans et traditionnels.
8. À l'embranchement suivant, prendre vers la gauche, rue des Orneaux.
9. À l’embranchement qui suit, à hauteur du n° 41, prendre vers la gauche. La rue rejoint la rue du Village.
10. Prendre la rue du Village à gauche. Au n° 48, on peut voir quelques éléments d’inspiration Art déco : dessus de fenêtres, frises sous le toit, coquilles sous les fenêtres. Au n° 52 : une maison qui devait être une ferme tri-cellulaire. À droite, la ferme de la Haute Aveine : un quadrilatère datant des XVIII e et XIX e siècles dont la grange possède une origine plus ancienne encore. Devant la ferme : la chapelle Saint-Donat reconstruite au début des années 1950 (à l’origine située le long d’un champ, elle fut déplacée).
11. Continuer sur la rue du Village. Au n° 147 : la grande ferme de Ghlin, construite en plusieurs étapes, rénovée et encore transformée à partir de 2013. Une partie des étables semble dater du XVIIIe siècle.
12. Continuer sur la rue du Village jusqu’au carrefour suivant. À droite, le château Soldy dont la ferme en contrebas était jadis séparée du corps de logis par un mur.
13. Prendre à droite le chemin de terre longeant le mur d’enceinte du château. On passe à côté de la chapelle Notre-Dame des Affligés. Continuer tout droit sur la route pavée jusqu’au croisement en T (avec la rue de Jausselette). Tourner à droite jusqu’au croisement suivant. 14. On arrive à la "Scopelerie" (là où les chemins se séparent), marquée par un ancien poteau indicateur. Prendre vers "NOVILLE Station" (rue de Jausselette). 15. Au carrefour suivant ("rond-point" pavé), tourner à gauche, rue des Visoules, vers le nouveau cimetière et après ce dernier, suivre le chemin de terre empierré. 16. Tourner à droite dans le chemin asphalté et aller jusqu’à la chaussée de Louvain. 17. La traverser prudemment et prendre le chemin de remembrement bétonné en face. Le chemin ondule entre champs et prairies, longe un bosquet et tourne à 90° à droite. Au loin sur la gauche, on peut voir le tumulus d’Hottomont et, au fond des prairies, on aperçoit deux clôtures parallèles qui marquent le tracé de la Visoule. Dans le bosquet qui suit les prairies, deux accès aux champs permettent de voir la rivière. Après avoir tourné à droite, on traverse un affluent de ce ruisseau.
18. Environ 650 m après avoir tourné en angle droit, au carrefour en T, tourner à gauche. Le chemin rejoint la rue Tige à la Saule.
19. La dernière maison à gauche, n° 2 de la rue Tige à la Saule, a été construite vers 1950 à la place d'une petite ferme démo - lie durant la guerre 1940-45. Elle comporte quelques éléments typiques de l’architecture 1950 : notamment colonnes et arcades. Prendre à gauche pour rejoindre le parking du départ.
Petite histoire de l’habitat rural en Hesbaye namuroise Les paysages hesbignons sont issus de la mise en culture de terres défrichées au sein des vastes étendues de la forêt primitive et de la création de lieux d’habitats groupés, généralement dans les vallées, près des cours d’eau. Avec l’achèvement de la conversion au christianisme au IXe siècle, les communautés se regroupent et le village se rassemble autour de l’église, entourée d’un cimetière mais aussi du lieu du pouvoir (manoir, château, abbaye). En effet, du XIe au XVIIIe siècles, l’organisation de la société reste basée sur le pouvoir des seigneurs. La société paysanne hesbignonne était organisée en trois classes et les différents types d’habitats en étaient le reflet : Les petites maisons des paysans travaillant chez les gros propriétaires, souvent composées d’une seule cellule, avaient des murs en colombages et un toit en chaume. En matériaux périssables, cet habitat a disparu. Les exploitations moyennes, dont le nombre s’accroît entre 1800 et 1850, avaient une cellule pour le logement et une cellule pour le bétail. Parfois, une petite grange était accolée à l’étable du bi-cellulaire pour former un tri-cellulaire long ou encadrer en "L" une courette. Les grosses fermes appartenaient aux abbayes ou aux seigneuries. Au Moyen Âge, les bâtiments fermiers, en matériaux inflammables, étaient séparés les uns des autres et parfois dispersés au sein d’une enceinte. Avec l’usage progressif de la brique, fabriquée avec l’argile locale, les grosses fermes, souvent à l’écart des villages, s’organisent de façon plus fonctionnelle pour aboutir, au XVIIIe siècle, au plan en carré dans lequel on peut repérer les éléments du style traditionnel hesbignon, hérités du Moyen Âge : l’emploi de la brique avec des pierres bleues locales pour les soubassements et les encadrements, l’usage de l’arc en anse de panier pour certaines ouvertures et les toits en ardoises ou tuiles. Vers le milieu du XIXe siècle, l’emploi de la brique s’intensifie dans les maisons villageoises, dans lesquelles on voit alors apparaître un étage. En cette période d’augmentation importante de la population, nombre d’églises devenues trop petites sont reconstruites et des maisons communales sont édifiées dans un style souvent néo-classique ou éclectique (= mélange d’éléments de la tradition médiévale romane et de la période baroque ou classique). Durant la première moitié du XXe siècle, d’autres courants marquent aussi de leur vocabulaire les maisons bourgeoises de la Hesbaye : L'Art nouveau (dont Victor Horta est un des grands représentants) est né à la fin du XIXe siècle. Il se caractérise par la présence d’ornementations en arabesques inspirées du monde végétal (souvent non symétriques) et par l’utilisation du fer forgé et du verre permetant de plus grandes ouvertures à la lumière. On peut noter cette influence sur les grilles d’entrée ou de portes, sur les toits, etc. L'Art déco est un mouvement de réaction à l’Art nouveau qui s’épanouit à partir des années 1920. Il s’articule autour de lignes simples, ordonnées dans des compositions symétriques (en briques colorées ou en relief) de formes géométriques et de motifs stylisés (coquilles, roses… mais aussi colonnes et pilastres) dans des frises, sous et au-dessus des fenêtres ainsi qu’aux angles.
Le faucon crécelle Le faucon crécerelle est un petit rapace présent dans les milieux ouverts et semi-ouverts de toute la Wallonie : zones de cultures, de prairies, landes, etc. Auxiliaire précieux de l'agriculteur, il se nourrit surtout de petits rongeurs. Ses ailes longues et pointues en forme de faux et sa longue queue lui permettent un vol rapide et puissant. Quand il chasse, il se positionne en "Saint-Esprit", 10 à 40 mètres au-dessus du sol : ce vol stationnaire, à battements d’ailes très rapides peut durer plusieurs minutes. Doté d’une bonne vue, il a en outre la faculté de voir les ultraviolets, ce qui lui est utile pour chasser les campagnols, leurs urines absorbant les ultraviolets. Son cri caractéristique, lancé d'un ton haut perché et querelleur, est à l’origine de son nom.
Le château Soldy était un manoir de la seigneurie de Juppleu. Son nom vient de sa vente en 1652 à Charles-Joseph de Soldy, sans doute parent avec Jacques de Soldy, mort en 1746 dans une bataille près de Ramillies, lors de la guerre de succession d’Autriche (et connu par la pierre scellée dans le mur extérieur droit de l’église). L’édifice a été rebâti en 1880 (date figurant sur une pierre logée dans le porche d’entrée de la ferme, aujourd’hui disparu). Le toit du corps de logis avait une terrasse faîtière, avec balustrade en fer forgé. Durant l’été 1944, des résistants recherchés par les allemands ont trouvé refuge au château Soldy, d’où ils partaient en mission.

Waypoints

PictographWaypoint Altitude 469 ft
Photo of1.Départ de la balade Photo of1.Départ de la balade Photo of1.Départ de la balade

1.Départ de la balade

PictographWaypoint Altitude 467 ft

2. Du petit parking, traverser la route de la Hesbaye et prendre le RAVeL.

PictographWaypoint Altitude 453 ft

3. Un peu plus loin, prendre à droite l’escalier qui rejoint le petit sentier le long du champ en co

PictographWaypoint Altitude 445 ft
Photo of4. Prendre la rue Sous La Vaux à droite, pour un petit aller-retour jusqu’à la route de la Hesbaye.

4. Prendre la rue Sous La Vaux à droite, pour un petit aller-retour jusqu’à la route de la Hesbaye.

Au n° 57 de ce�e route : un bel exemple d’architecture du début du XXe, où l’on retrouve des éléments Art nouveau et Art déco. Nombre des maisons de la rue, entre la gare et la chaussée de Louvain, ont été construites entre 1900 et 1950 avec des briques fabriquées sur place dans des briqueteries temporaires.

PictographWaypoint Altitude 445 ft
Photo of5. Redescendre la rue Sous La Vaux et la suivre vers la droite.

5. Redescendre la rue Sous La Vaux et la suivre vers la droite.

Au n° 33 : la plus vieille maison du village (1753), rénovée.

PictographWaypoint Altitude 453 ft

6. Dépasser la ruelle de la Dîme à droite

À gauche (derrière le portail en bois) : l’ancien moulin à eau. La roue, située à l’arrière, sous le clocheton dont on voit la pointe au-dessus du toit, était mue par une dériva�on de la Mehaigne. Il existait déjà sous l’Ancien Régime et, à par�r de 1743, a fait par�e des dépendances du château qui se situe un peu plus loin. Il a été en ac�vité jusque 1952 avant d’être transformé en café puis en habita�on. À droite, au n° 14, la "Maison des œuvres" : salle paroissiale construite en 1934 par le curé Meunier. L’architecture incorpore des éléments du vocabulaire Art déco. En face, derrière les feuillages des arbres du parc : le château de la Mo�e, vaste bâ�ment en briques de trois étages, de style néo-classique, dont les fonda�ons reposent sur des chênes en�ers servant de pilo�s. Il fût construit en 1860 à la place de l’ancien château-fort de Noville, dont la seigneurie existait déjà au XIVe siècle et qui était plus grand et entouré d’eau. Le château, acheté par le baron de Jamblinne de Meux en 1927, fut agrandi (et asséché) en 1928. La baronne qui ravitailla la Résistance dès 1940, fut dénoncée et déportée avec ses deux fils en 1943. Seul, un de ses fils en revint. Le château abrite actuellement le siège de Vésale Pharma, leader européen en solu�ons microbio�ques. À droite, on découvre le mur du cime�ère qui entoure l’église. Ne pas prendre la ruelle de la Sacris�e qui remonte à l’église. Seule église de l’en�té d’Eghezée à être dotée de deux clochetons, l’église Saint-Philibert, achevée en 1864, fut construite pour remplacer l’église de 1750, détruite car devenue trop pe�te et vétuste. Son style est éclec�que : avec des éléments classiques, romans et tradi�onnels.

PictographWaypoint Altitude 453 ft
Photo of7. traverser prudemment la chaussée de Louvain et prendre en face la rue Louis Allaert. Photo of7. traverser prudemment la chaussée de Louvain et prendre en face la rue Louis Allaert. Photo of7. traverser prudemment la chaussée de Louvain et prendre en face la rue Louis Allaert.

7. traverser prudemment la chaussée de Louvain et prendre en face la rue Louis Allaert.

PictographWaypoint Altitude 460 ft
Photo of8. À l'embranchement suivant, prendre vers la gauche, rue des Orneaux.

8. À l'embranchement suivant, prendre vers la gauche, rue des Orneaux.

PictographWaypoint Altitude 466 ft

9. À l’embranchement qui suit, à hauteur du n° 41, prendre vers la gauche. La rue rejoint la rue du

PictographWaypoint Altitude 469 ft
Photo of10. Prendre la rue du Village à gauche. Photo of10. Prendre la rue du Village à gauche. Photo of10. Prendre la rue du Village à gauche.

10. Prendre la rue du Village à gauche.

Au n° 48, on peut voir quelques éléments d’inspira�on Art déco : dessus de fenêtres, frises sous le toit, coquilles sous les fenêtres. Au n° 52 : une maison qui devait être une ferme tri-cellulaire. À droite, la ferme de la Haute Aveine : un quadrilatère datant des XVIIIe et XIXe siècles dont la grange possède une origine plus ancienne encore. Devant la ferme : la chapelle Saint-Donat reconstruite au début des années 1950 (à l’origine située le long d’un champ, elle fut déplacée).

PictographWaypoint Altitude 475 ft
Photo of11. Continuer sur la rue du Village. Photo of11. Continuer sur la rue du Village.

11. Continuer sur la rue du Village.

Au n° 147 : la grande ferme de Ghlin, construite en plusieurs étapes, rénovée et encore transformée à par�r de 2013. Une par�e des étables semble dater du XVIIIe siècle.

PictographWaypoint Altitude 480 ft
Photo of12. Continuer sur la rue du Village jusqu’au carrefour suivant. Photo of12. Continuer sur la rue du Village jusqu’au carrefour suivant.

12. Continuer sur la rue du Village jusqu’au carrefour suivant.

À droite, le château Soldy dont la ferme en contrebas était jadis séparée du corps de logis par un mur.

PictographWaypoint Altitude 484 ft
Photo of13. Prendre à droite le chemin de terre longeant le mur d’enceinte du château. Photo of13. Prendre à droite le chemin de terre longeant le mur d’enceinte du château.

13. Prendre à droite le chemin de terre longeant le mur d’enceinte du château.

On passe à côté de la chapelle Notre-Dame des Affligés.

PictographWaypoint Altitude 486 ft
Photo of14. On arrive à la 'Scopelerie' (là où les chemins se séparent), marquée par un ancien poteau indica

14. On arrive à la 'Scopelerie' (là où les chemins se séparent), marquée par un ancien poteau indica

PictographWaypoint Altitude 487 ft

15. Au carrefour suivant ('rond-point' pavé), tourner à gauche, rue des Visoules, vers le nouveau ci

PictographWaypoint Altitude 476 ft

16. Tourner à droite dans le chemin asphalté et aller jusqu’à la chaussée de Louvain.

PictographWaypoint Altitude 470 ft

17. La traverser prudemment et prendre le chemin de remem- brement bétonné en face. Le chemin ondule

Au loin sur la gauche, on peut voir le tumulus d’Ho�omont et, au fond des prairies, on aperçoit deux clôtures parallèles qui marquent le tracé de la Visoule. Dans le bosquet qui suit les prairies, deux accès aux champs perme�ent de voir la rivière. Après avoir tourné à droite, on traverse un affluent de ce ruisseau.

PictographWaypoint Altitude 468 ft

18. Environ 650 m après avoir tourné en angle droit, au carrefour en T, tourner à gauche. Le chemin

PictographWaypoint Altitude 469 ft

19. La dernière maison à gauche, n° 2 de la rue Tige à la Saule, a été construite vers 1950 à la pla

Elle comporte quelques éléments typiques de l’architecture 1950 : notamment colonnes et arcades. Prendre à gauche pour rejoindre le parking du départ.

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