Les pistes forestières à l'ouest et au sud de Pieve di Teco (entre Colle San Bartolomeo et Montegrosso Pian Latte)
near Pieve di Teco, Liguria (Italia)
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Itinerary description
En assemblant plusieurs tronçons parcourus à des moments différents ces 6 dernières années et parfois déjà publiés séparément, je propose à un groupe d'amis qui me l'ont demandé un ensemble « musclé » de pistes en grande partie forestières situées à l’ouest et au sud de Pieve di Teco, une zone que nous connaissons bien contrairement à celle qui s'étend à l'est de cette petite bourgade.
Dans cette zone, les versants montagneux sont recouverts d’épaisses forêts de feuillus (de hêtres notamment) parcourues par de nombreuses pistes. Il faut savoir qu’elles peuvent être très étroites (la carrosserie pourra souffrir des branchages empiétant sur certains tronçons de pistes, même avec ma Panda !), facilement boueuses (comme toutes ces pistes forestières, il faudra éviter de les parcourir par temps humide à moins qu’on soit très bien équipé au niveau pneus et qu’on recherche la difficulté !) et de viabilité incertaine en début de saison ou après une période de mauvais temps à cause de branches, voire même de troncs, tombés sur le chemin et bloquant le passage.
Ce tracé se compose de 6 pistes distinctes ! Si vous le suivez intégralement, une chose est sûre, vous allez en « bouffer » de la forêt !!!
On démarre de Pieve di Teco, une toute petite ville de la Province d’Imperia en Ligurie, riche en patrimoine historique et qui mérite assurément une visite.
On prend la SP17 direction Rezzo / Passo della Teglia. Arrivé rapidement, à hauteur de Lavina, on va pouvoir s’engager sur la première piste de ce tracé qui relie Lavina à San Bernardo di Conio. Voilà bien ce qu’on appelle une piste forestière puisque durant les 10 à 11 km de son parcours, on ne sort jamais de la forêt ! Au point que, comme on est obligé de rouler très lentement et qu'il faut donc un certain temps pour la parcourir, et qu’en plus, on n’a pratiquement jamais aucune vue lointaine, ça fait un drôle d’effet quand enfin on débouche soudainement au milieu des petites maisons de San Bernardo di Conio !
A noter qu'en cours de montée, après la longue série d'épingles (une bonne vingtaine !), on arrive à un embranchement où il faut continuer tout droit en serrant sur la droite (on reparlera de la piste qui prend sur la gauche en fin de ce tracé !).
Cette piste, je ne l'ai faite qu'une seule fois en pleine chaleur estivale, sans qu'il y ait d'averses l'après-midi et j'ai ainsi évité les problèmes de boue qui doivent être présents si on tente de la faire au printemps ou en fin d'automne.
Après San Bernardo di Conio, on prend 2 fois à droite sur des routes revêtues pour atteindre l’embranchement avec la piste de la Mezzaluna.
Cette 2ème piste est plus connue que les autres puisqu’elle relie Rezzo ou le Passo dellaTeglia au Colle di Garezzo. Elle est clairement plus large que la précédente, plus facile à parcourir (peu de risques de boue) et finalement bien mieux entretenue qu’il y a dix ou quinze ans de ça. Là encore, on va manger de la forêt jusqu’à en sortir pour de bon un kilomètre sous le Passo de la Mezzaluna. Le trajet qui mène ensuite au Passo del Pian del Latte se fait en terrain découvert et les troupeaux de vaches sont inévitables ! Et ces sympathiques animaux peu farouches ne laissent pas volontiers le passage !!
Peu après le Passo del Pian del Latte, on laisse la piste principale qui mène au Colle di Garezzo pour prendre à droite une bonne piste (la 3ème !) descendant sur la Margheria (Vacherie) de Pian del Latte. On notera à l’embranchement un panneau peu fréquent indiquant que la piste que l’on prend est interdite par temps de pluie ! Sage conseil qu’il faut respecter car, en effet, après être passé près de la vacherie et avoir pris à gauche 2 kilomètres plus bas à une intersection dont on reparlera plus tard, on s’engage de nouveau dans une épaisse forêt dont la traversée présente des parties très boueuses. Honnêtement, quand j’y suis passé en plein été là encore, et alors qu’il n’y avait pas particulièrement eu d’orages les après-midis précédents, j’ai tout de même trouvé pas mal de boue au point même qu’en deux ou trois endroits, je ne suis pas certain d’avoir pu passer dans le sens montant s'il l'avait fallu ! Il y a dans ce coin des sources et des résurgences permanentes qui entretiennent l’humidité du sol et de la piste. Donc, par temps de pluie, pas la peine d’y songer (du moins, avec ma Panda !!) !
On retrouve la civilisation au hameau de Case Fascei d’où une route revêtue nous fait descendre au gros village de Montegrosso Pian Latte puis, plus bas, sur la SP3 qui relie Mendatica à Pieve di Teco. A noter que la seule fois où nous sommes passés sur cette 3ème piste, c’était avant qu’elle soit emportée sur plusieurs mètres dans un vallonnement des Prati d’Ansaldo, à la sortie de la forêt, par la tempête de l’automne 2020. Il semblerait qu’elle ait été rouverte depuis mais ça reste à vérifier auprès de quelqu’un qui y serait passé l’été dernier.
Rapidement, on va trouver le début de notre 4ème piste juste avant le hameau de Case Gandalini et le petit village de Ponti. Une étroite piste forestière (comme il se doit !) s’élève en direction de la Vacherie de Pian del Latte où on est passé précédemment. Cette piste est un peu plus variée dans la mesure où on traverse la zone découverte de Pian Soprano où on peut voir une douzaine de constructions, certaines étant clairement utilisées. Ceci explique qu’à la belle saison, le nécessaire ait été fait pour que la piste soit praticable, ce qui n’est pas le cas au printemps ! Dans la mesure où nous sommes passés en plein été, c’était jouable.
Après avoir dépassé les quelques bâtiments de Pian Soprano, la piste sort de la forêt pour commencer à traverser des zones d’alpages. Parvenu à un embranchement, si l’on prend à droite, on va rejoindre en moins de 2 kilomètres la piste qu’on a empruntée précédemment entre la Vacherie de Pian del Latte et le village de Montegrosso Pian Latte. C’est ce qu’on fait sur ce tracé avant de faire demi-tour quand on se retrouve à l’embranchement où on était déjà passé et dont on a dit qu'on en reparlerait.
On redescend les 2 kilomètres et, à l'embranchement, on continue tout droit jusqu’à trouver juste après un nouvel embranchement. La branche de droite se termine très vite dans les alpages du Monte Prearba. Celle de gauche constitue notre 5ème piste qui descend au hameau de Tetti di Parodo et à la chapelle de la Madonna di Parodo. C’est très étroit et ça va très très lentement, c’est le moins qu’on puisse dire ! On s’attend à être planté à tout moment ! Et d’ailleurs, nous avons fini par devoir faire demi-tour à cause d’un arbre rencontré au milieu de la piste ! On n'a donc pas pu continuer le chemin qui descend en forêt (ça va de soi !) près de Ponti sur la route entre Mendatica et Pieve di Teco. On peut cependant considérer la suite comme faisable en temps normal car un gars qui apparemment était chez lui aux Tetti di Parodo et qui avait un ancien Samuraï m’a dit que dès que l’arbre sera débité, ça passera sûr et certain ! C'est pour cela que j'ai inclus cette piste dans ce tracé. Ceci étant, notre seule tentative remonte à 5 ou 6 ans et nul ne sait ce que c'est devenu en 2022 !!!
Retour donc à Pieve di Teco d'où on est parti et où je pensais terminer ce tracé publié. Mais finalement j’ai décidé de rajouter un supplément bien tentant que j’essayerai volontiers quand j’en aurai l’occasion. Ce supplément (merci d’avance à celui qui s’y lancera de communiquer à ce sujet !), il faut, pour y accéder, aller au Colle di San Bartolomeo où passait la SS28 avant qu’un long tunnel permette de l’éviter. Du Col, on prend à droite vers San Bernardo di Conio et le Colle d’Oggia. On trouve rapidement sur la droite le début de la piste du Monte Guardiabella qu’on remonte jusqu’aux alpages de la crête. Là voilà, notre 6ème piste ! Avant de redescendre dans la forêt, on passe en-contrebas du Passo del Lupo et du Monte Guardiabella. Ensuite, la piste descend en forêt ( le contraire aurait été étonnant !!) rejoindre la 1ère piste de ce tracé entre Lavina et San Bernardo di Conio. Si la partie de cette 6ème piste qui mène aux alpages ne doit pas poser de gros problèmes puisqu’on est en terrain découvert et que les éleveurs doivent l’utiliser chaque année, je n’ai par contre aucun renseignement sur le morceau qui descend en pleine forêt rejoindre notre 1ère piste. Tant que quelqu’un n’aura pas essayé, on n’en saura pas plus ! J’ai arrêté le tracé à l’endroit où on rejoint la piste Lavina/San Bernardo di Conio déjà parcourue en début de tracé, à l'embranchement-même dont on avait dit qu'on en reparlerait.
Un parcours plein d'incertitudes donc à tenter l'été prochain ! Merci à tous ceux capables d'apporter des compléments d'information plus récents.
Dans cette zone, les versants montagneux sont recouverts d’épaisses forêts de feuillus (de hêtres notamment) parcourues par de nombreuses pistes. Il faut savoir qu’elles peuvent être très étroites (la carrosserie pourra souffrir des branchages empiétant sur certains tronçons de pistes, même avec ma Panda !), facilement boueuses (comme toutes ces pistes forestières, il faudra éviter de les parcourir par temps humide à moins qu’on soit très bien équipé au niveau pneus et qu’on recherche la difficulté !) et de viabilité incertaine en début de saison ou après une période de mauvais temps à cause de branches, voire même de troncs, tombés sur le chemin et bloquant le passage.
Ce tracé se compose de 6 pistes distinctes ! Si vous le suivez intégralement, une chose est sûre, vous allez en « bouffer » de la forêt !!!
On démarre de Pieve di Teco, une toute petite ville de la Province d’Imperia en Ligurie, riche en patrimoine historique et qui mérite assurément une visite.
On prend la SP17 direction Rezzo / Passo della Teglia. Arrivé rapidement, à hauteur de Lavina, on va pouvoir s’engager sur la première piste de ce tracé qui relie Lavina à San Bernardo di Conio. Voilà bien ce qu’on appelle une piste forestière puisque durant les 10 à 11 km de son parcours, on ne sort jamais de la forêt ! Au point que, comme on est obligé de rouler très lentement et qu'il faut donc un certain temps pour la parcourir, et qu’en plus, on n’a pratiquement jamais aucune vue lointaine, ça fait un drôle d’effet quand enfin on débouche soudainement au milieu des petites maisons de San Bernardo di Conio !
A noter qu'en cours de montée, après la longue série d'épingles (une bonne vingtaine !), on arrive à un embranchement où il faut continuer tout droit en serrant sur la droite (on reparlera de la piste qui prend sur la gauche en fin de ce tracé !).
Cette piste, je ne l'ai faite qu'une seule fois en pleine chaleur estivale, sans qu'il y ait d'averses l'après-midi et j'ai ainsi évité les problèmes de boue qui doivent être présents si on tente de la faire au printemps ou en fin d'automne.
Après San Bernardo di Conio, on prend 2 fois à droite sur des routes revêtues pour atteindre l’embranchement avec la piste de la Mezzaluna.
Cette 2ème piste est plus connue que les autres puisqu’elle relie Rezzo ou le Passo dellaTeglia au Colle di Garezzo. Elle est clairement plus large que la précédente, plus facile à parcourir (peu de risques de boue) et finalement bien mieux entretenue qu’il y a dix ou quinze ans de ça. Là encore, on va manger de la forêt jusqu’à en sortir pour de bon un kilomètre sous le Passo de la Mezzaluna. Le trajet qui mène ensuite au Passo del Pian del Latte se fait en terrain découvert et les troupeaux de vaches sont inévitables ! Et ces sympathiques animaux peu farouches ne laissent pas volontiers le passage !!
Peu après le Passo del Pian del Latte, on laisse la piste principale qui mène au Colle di Garezzo pour prendre à droite une bonne piste (la 3ème !) descendant sur la Margheria (Vacherie) de Pian del Latte. On notera à l’embranchement un panneau peu fréquent indiquant que la piste que l’on prend est interdite par temps de pluie ! Sage conseil qu’il faut respecter car, en effet, après être passé près de la vacherie et avoir pris à gauche 2 kilomètres plus bas à une intersection dont on reparlera plus tard, on s’engage de nouveau dans une épaisse forêt dont la traversée présente des parties très boueuses. Honnêtement, quand j’y suis passé en plein été là encore, et alors qu’il n’y avait pas particulièrement eu d’orages les après-midis précédents, j’ai tout de même trouvé pas mal de boue au point même qu’en deux ou trois endroits, je ne suis pas certain d’avoir pu passer dans le sens montant s'il l'avait fallu ! Il y a dans ce coin des sources et des résurgences permanentes qui entretiennent l’humidité du sol et de la piste. Donc, par temps de pluie, pas la peine d’y songer (du moins, avec ma Panda !!) !
On retrouve la civilisation au hameau de Case Fascei d’où une route revêtue nous fait descendre au gros village de Montegrosso Pian Latte puis, plus bas, sur la SP3 qui relie Mendatica à Pieve di Teco. A noter que la seule fois où nous sommes passés sur cette 3ème piste, c’était avant qu’elle soit emportée sur plusieurs mètres dans un vallonnement des Prati d’Ansaldo, à la sortie de la forêt, par la tempête de l’automne 2020. Il semblerait qu’elle ait été rouverte depuis mais ça reste à vérifier auprès de quelqu’un qui y serait passé l’été dernier.
Rapidement, on va trouver le début de notre 4ème piste juste avant le hameau de Case Gandalini et le petit village de Ponti. Une étroite piste forestière (comme il se doit !) s’élève en direction de la Vacherie de Pian del Latte où on est passé précédemment. Cette piste est un peu plus variée dans la mesure où on traverse la zone découverte de Pian Soprano où on peut voir une douzaine de constructions, certaines étant clairement utilisées. Ceci explique qu’à la belle saison, le nécessaire ait été fait pour que la piste soit praticable, ce qui n’est pas le cas au printemps ! Dans la mesure où nous sommes passés en plein été, c’était jouable.
Après avoir dépassé les quelques bâtiments de Pian Soprano, la piste sort de la forêt pour commencer à traverser des zones d’alpages. Parvenu à un embranchement, si l’on prend à droite, on va rejoindre en moins de 2 kilomètres la piste qu’on a empruntée précédemment entre la Vacherie de Pian del Latte et le village de Montegrosso Pian Latte. C’est ce qu’on fait sur ce tracé avant de faire demi-tour quand on se retrouve à l’embranchement où on était déjà passé et dont on a dit qu'on en reparlerait.
On redescend les 2 kilomètres et, à l'embranchement, on continue tout droit jusqu’à trouver juste après un nouvel embranchement. La branche de droite se termine très vite dans les alpages du Monte Prearba. Celle de gauche constitue notre 5ème piste qui descend au hameau de Tetti di Parodo et à la chapelle de la Madonna di Parodo. C’est très étroit et ça va très très lentement, c’est le moins qu’on puisse dire ! On s’attend à être planté à tout moment ! Et d’ailleurs, nous avons fini par devoir faire demi-tour à cause d’un arbre rencontré au milieu de la piste ! On n'a donc pas pu continuer le chemin qui descend en forêt (ça va de soi !) près de Ponti sur la route entre Mendatica et Pieve di Teco. On peut cependant considérer la suite comme faisable en temps normal car un gars qui apparemment était chez lui aux Tetti di Parodo et qui avait un ancien Samuraï m’a dit que dès que l’arbre sera débité, ça passera sûr et certain ! C'est pour cela que j'ai inclus cette piste dans ce tracé. Ceci étant, notre seule tentative remonte à 5 ou 6 ans et nul ne sait ce que c'est devenu en 2022 !!!
Retour donc à Pieve di Teco d'où on est parti et où je pensais terminer ce tracé publié. Mais finalement j’ai décidé de rajouter un supplément bien tentant que j’essayerai volontiers quand j’en aurai l’occasion. Ce supplément (merci d’avance à celui qui s’y lancera de communiquer à ce sujet !), il faut, pour y accéder, aller au Colle di San Bartolomeo où passait la SS28 avant qu’un long tunnel permette de l’éviter. Du Col, on prend à droite vers San Bernardo di Conio et le Colle d’Oggia. On trouve rapidement sur la droite le début de la piste du Monte Guardiabella qu’on remonte jusqu’aux alpages de la crête. Là voilà, notre 6ème piste ! Avant de redescendre dans la forêt, on passe en-contrebas du Passo del Lupo et du Monte Guardiabella. Ensuite, la piste descend en forêt ( le contraire aurait été étonnant !!) rejoindre la 1ère piste de ce tracé entre Lavina et San Bernardo di Conio. Si la partie de cette 6ème piste qui mène aux alpages ne doit pas poser de gros problèmes puisqu’on est en terrain découvert et que les éleveurs doivent l’utiliser chaque année, je n’ai par contre aucun renseignement sur le morceau qui descend en pleine forêt rejoindre notre 1ère piste. Tant que quelqu’un n’aura pas essayé, on n’en saura pas plus ! J’ai arrêté le tracé à l’endroit où on rejoint la piste Lavina/San Bernardo di Conio déjà parcourue en début de tracé, à l'embranchement-même dont on avait dit qu'on en reparlerait.
Un parcours plein d'incertitudes donc à tenter l'été prochain ! Merci à tous ceux capables d'apporter des compléments d'information plus récents.
Waypoints
Religious site
835 ft
Pieve di Teco (240 m.)
Religious site
1,125 ft
Lavina (345 m.)
Religious site
3,237 ft
San Bernardo di Conio (975 m.)
Intersection
3,397 ft
Embranchement piste de la Mezzaluna (1075 m.)
Mountain pass
4,758 ft
Passo della Mezzaluna (1454 m.)
Mountain pass
5,757 ft
Passo del Pian del Latte (1745 m.)
Intersection
5,656 ft
Embranchement piste vers Colle di Garezzo (1720 m.)
Mountain hut
5,365 ft
Margheria Pian del Latte (1635 m.)
Intersection
4,746 ft
Embranchement pistes forestières descendant vers Ponti (1455 m.)
Religious site
4,124 ft
Case Fascei (1260 m.)
Religious site
2,366 ft
Montegrosso Pian Latte (720 m.)
Waypoint
1,329 ft
Case Gandalini (410 m.)
Waypoint
2,970 ft
Case Pian Soprano (900 m.)
Intersection
4,477 ft
Embranchement piste vers Margheria Pian del Latte (1365 m.)
Intersection
4,448 ft
Embranchement piste vers Monte Prearba (1360 m.)
Summit
4,717 ft
Monte Prearba (1425 m.)
Waypoint
3,106 ft
Tetti di Parodo (945 m.)
Religious site
2,941 ft
Madonna del Parodo (900 m.)
Religious site
1,268 ft
Ponti (390 m.)
Religious site
1,318 ft
Acquetico (400 m.)
Mountain pass
2,056 ft
Colle San Bartolomeo (625 m.)
Summit
3,970 ft
Monte Guardiabella (1200 m.)
Mountain pass
3,656 ft
Passo del Lupo (1110 m.)
Intersection
2,644 ft
Embranchement piste Lavina-San Bernardo di Conio / piste Passo del Lupo-Monte Guardiabella (810 m.)
Comments (6)
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Salut !!
Je pense que je vais tenter ce parcours en avril? Combien de temps à votre avis pour parcourir c'est 90klm ? Je ferai ce trip en bivouacs
Et si j'ai le temps j'essaierai de faire la 6iemz piste!!
Merci!!
Bonjour !
Pour ce tracé, dans la journée, ça se fait sans problème.
Si c'est dans l'optique de bivouaquer, il faudrait le combiner avec d'autres tracés du coin au nord ou à l'est de Pieve di Teco où on reste en moyenne montagne.
Plus au nord, vers le Saccarel, ça risque de ne pas passer. Et d'ailleurs, je suis passé avant-hier à Pieve di Teco et j'ai remarqué que de la neige fraîche était tombée récemment sur les sommets au-dessus de 1500 mètres. Pour le faire en avril, il faudra s'assurer qu'il n'a pas neigé récemment et encore ... Du côté de Margheria Pian di Latte où on est à 1700 mètres, c'est rare qu'on passe sans souci en avril. A surveiller aussi les périodes de pluies possibles car certaines pistes deviennent vite de fameux bourbiers !
Merci d'avance pour un retour sur cette expédition quand elle sera faite.
J'essaierai de le cumuler avec vos 2 autres tracés ceux des pistes militaires de brigue et toria
Je me renseignerais si c'est praticable, suivant la.meteo.. sinon je changerai mes plans..
Je vous ferai un retour
Je vais analyser La 6ieme piste!
Merci à vous
Bonjour @greg savino , avez vous pu faire cet itinéraire ? Pas trop etroit avec le 100?
Merci d'avance
J'ai bien précisé dans le topo les morceaux du tracé que je n'ai pas faits entièrement.
Pour la partie que j'ai faite, je pense que ça devrait se faire avec juste en quelques endroits, un contact inévitable avec les végétaux de part et d'autre de la piste. Mais sans que ce soit vraiment un problème. On n'est quand même pas sur la piste du Grammondo !
Merci Jacques ! Je pense que des que je trouve le temps je m'y lancerais !! Encore merci pour tes tracé qui nous ont fait découvrir tant de paysages