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SityTrail - Paris (03.2) - Passages couverts V2 - 9/10

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Trail stats

Distance
6.27 mi
Elevation gain
30 ft
Technical difficulty
Moderate
Elevation loss
23 ft
Max elevation
177 ft
TrailRank 
19
Min elevation
115 ft
Trail type
One Way
Coordinates
193
Uploaded
April 23, 2022
Recorded
April 2022
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near Paris 01 Ancien - Quartier Place-Vendôme, Île-de-France (France)

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Itinerary description

Belle promenade à travers Paris pour découvrir le charme parisien de 24 passages.
La majorité d’entre eux a été édifiée sur la première partie du 19 eme siècle, ces galeries percées au milieu des immeubles et surmontées de verrières constituent une curiosité architecturale typique de Paris. La plupart abrite des boutiques, des salons de thé ou des restaurants. Paris en compte une vingtaine, situées aux abords des Grands Boulevards.

Un des plus anciennes, le passage des Panoramas, date de 1799. On y trouve le théâtre des Variétés, inauguré en 1807 et toujours en activité. Chaque galerie a sa spécialité : le passage Brady, communément appelé Little India, est peuplé de commerces indo-pakistanais, mauriciens, réunionnais. Le passage Verdeau abrite, lui, de nombreux antiquaires. Quant au passage du Caire, le plus long et le plus étroit de la capitale (plus de 360 mètres de long), il concentre un très grand nombre de grossistes en prêt-à-porter et autres fabricants de tissus.

Prévoyez de 4 à 5 heures pour faire le circuit complet, en fonction de vos arrêts et achats.
Evitez de faire cette randonnée le dimanche, plus des 2/3 des passages sont fermés.

Bonne promenade

Rui Barbosa

Waypoints

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Fausse maison de la naissance de Moliere

Au 31 rue du pont neuf se trouve un immeuble sur lequel il est indiqué que Molière est née ici en l'an1620. C'est faux car il est née le 15 janvier 1622 au 96 de la rue st honoré. Ceci est une arnaque de la part d'un ancien propriétaire de l'immeuble, qui à trouvé cette solution pour faire grimper le prix de son bien.

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Passage du Ponceau

Le Passage du Ponceau, ouvert en 1826, a subi la même évolution désastreuse que la plupart des passages du Sentier. Le percement du boulevard Sébastopol en 1854, en a réduit sa longueur. Il ne reste plus grand chose de la construction d’origine : ni la verrière, ni les luminaires, ni aucun élément de décoration. Seules quelques moulures résistent encore au temps. Le passage du Ponceau, face au Passage du Caire, est devenu un entrepôt parmi tant d’autre dans le Sentier.

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Galerie Royale

Le 11, rue Royale est un hôtel construit par Louis Le Tellier, après 1781. Il est percé par la Galerie Royale qui rejoint la rue Boissy d’Anglas. La Galerie Royale, c’est le temple des orfèvres les plus prestigieux : Bernardaud, Lalique et Christofle y présentent leurs plus belles pièces depuis de nombreuses années. S’engager sous le porche de la rue Royale et juste devant la boutique qui barre le fond, tourner à gauche, puis à droite. Faire quelques pas. C’est le cœur de la Galerie sous un plafond Art déco.

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Passage Puteaux

Le Passage est ouvert en 1839 sur l’emplacement du prieuré des Bénédictines de La Ville-l’Évêque. Depuis sa création, le passage est resté dans l’oubli. Le quartier de la Madeleine commence à attirer beaucoup d’investisseurs. Sa création est le fruit d’une spéculation sur la construction de la Gare de l’Ouest, actuelle Gare Saint-Lazare. Puteaux pensait que la nouvelle gare serait construite entre la rue Tronchet et la rue de l’Arcade, face à son passage. C’est un passage modeste avec ses 29 m de long et une verrière qui ne couvre que la moitié de l’allée.

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Galerie de la Madeleine

Elle a été commencée en 1840, terminée en 1845 et inaugurée en 1846, après l'agrandissement de la place de la Madeleine. Très bien conservée, elle abritait jusqu'à récemment de petits commerces et des artisans, mais accueille maintenant surtout des boutiques de luxe. Conçue par l'architecte Théodore Charpentier, elle a un aspect monumental, se démarquant des exemples antérieurs. La verrière, divisée en panneaux, s'appuie sur d'élégants arcs-boutants. Les deux façades sont très différentes: celle de la Madeleine présente deux belles cariatides encadrant le beau porche. Du côté de la rue Boissy-d'Anglas, l'immeuble 1700 vient se loger dans la galerie: le porche en arrondi s'incruste harmonieusement dans la belle façade double en bois sculpté, qui date de l'origine de la galerie.

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Village Royal - Cité Berryer

Inauguré en 1746 pour répondre à la forte croissance de la population dans le quartier, l’emplacement actuel n’était avant cela qu’un terrain privé vierge de toute habitation. Seule existait une importante caserne en bordure du terrain : celle qui accueillait la garde royale de Louis XIII, les célèbres mousquetaires. Le 8e arrondissement deviendra le quartier à la mode à partir de la seconde moitié du 18e siècle, financiers et haute bourgeoisie délaissant peu à peu le Marais, saturé. Pour répondre au développement du quartier, on décide de créer dans ce passage un marché, le « marché d’Aguesseau », qui accueillera étals et échoppes de bouchers, fruitiers, poissonniers, et autres commerces en tout genre.

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Passage Edouard VII

En 1911, un vaste programme à la fois urbanistique et immobilier fut réalisé par l’architecte Nénot à l’initiative de la Société de la rue Edouard VII. Celle-ci racheta les terrains occupés par la compagnie Générale des Petites Voitures ; compagnie qui y logeait 500 chevaux et 200 fiacres. A partir de 1921, les locaux furent progressivement occupés et privatisés par les services centraux de la Société Générale : dès lors, la rue Edouard VII, devenue une voie privée fermée par des barrières, fut le centre de la vie quotidienne du personnel de la Banque. En 1992, La Société Générale décide de regrouper, à l’horizon de 1995, les nombreuses implantations parisiennes de ses services centraux sur les pôles de Val de Fontenay et la Défense. Ainsi, la libération de la totalité du site prestigieux d’Edouard VII sur un hectare et demi offre une opportunité, exceptionnelle dans le contexte parisien, de réaliser une opération urbanistique et architecturale. Le chantier et la démolition pour la réhabilitation commencent en novembre 1995 et se termine en 1999.

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Marché couvert Saint Honoré

Il n'y a pas si longtemps il existait un vrai marché couvert sur cette place Saint-Honoré. Il est devenu le temple des meubles design dans ce coin où il est vrai les habitants sont de moins en moins nombreux. Pour dire qu'il existe encore une vie de quartier, un petit marché s'installe deux fois par semaine. Pas de boucher ni de charcutier mais un stand de thés (Divini’thé de Zheng) et un autre de spécialités italiennes. Une belle rôtisserie de volailles fermières.

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Passage sainte Anne

Le passage Sainte-Anne est ouvert en 1829 à l'emplacement du couvent de l'ancienne communauté des Nouvelles Catholiques, peu après l'ouverture du passage Choiseul. Il est inscrit au titre des monuments historiques en 1974, en même temps que le passage Choiseul.

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Passage Choiseul

Avec ses 190 mètres de longueur, il est l’un des plus longs de la capitale. Le passage fut édifié entre 1825 et 1827 à proximité des Grands boulevards, alors très fréquentés, d'abord par l'architecte François Mazois1 puis, après sa mort, terminé par Antoine Tavernier à l’emplacement de quatre hôtels contigus acquis par la banque Mallet dans le but d'une opération spéculative. Les promoteurs firent démolir ces hôtels, à l'exception de quelques éléments de l’hôtel de Gesvres qui furent conservés, dont le porche qui constitue aujourd’hui l’entrée Nord du passage. Progressivement tombé en désuétude comme beaucoup d'autres passages parisiens, le passage Choiseul a connu une explosion de sa fréquentation au début des années 1970 quand le couturier Kenzo y ouvrit une boutique branchée. Sa fréquentation qui avait reculé depuis le déménagement du couturier place des Victoires s'est relativement stabilisée depuis lors, mais est tributaire des heures de bureaux, le passage étant peu fréquenté ou fermé en dehors de ces horaires. Le passage possède peu d'éléments décoratifs et ses boutiques ne possèdent pas d'attrait ornemental particulier. Le lieu possède un passé littéraire : Alphonse Lemerre, le premier éditeur des poètes Parnassiens possédait en effet sa boutique dans le passage au no 23. Louis-Ferdinand Céline y vécut enfant de 1899 à 1907, sa mère y tenant une boutique de « nouveautés » au no 67 puis à partir de 1904 au no 642. Il immortalisa le passage dans sa décrépitude en 1936 sous le nom de « Passage des Bérésinas » dans Mort à crédit.

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Passage Colbert

En 1826, la société Adam et Compagnie acheté à l’État un ancien hôtel, construit par Le Vau, ayant appartenu à Colbert, puis au régent Philippe d’Orléans. Afin de concurrencer la Galerie Vivienne, la société Adam et Compagnie décida de faire construire, au lieu et place de l’hôtel, une galerie tout aussi remarquable que sa voisine. L’architecte J. Billaud élevé une vaste rotonde, éclairée par un dôme de verre. Au centre, il avait placé un magnifique candélabre en bronze portant une couronne de sept globes de cristal, éclairés au gaz, qu’on appela le «cocotier lumineux». Il devint le haut lieu des rendez-vous galants sous la Monarchie de Juillet. (Aujourd’hui disparu, il a été remplacé par une statue datant de 1822) L’architecture de la galerie inspira de nombreux architectes de toute l’Europe : le principe de la rotonde a été souvent retenu quand il s’agissait de croiser des allées dans une galerie. Peu à peu, la désaffection gagne les lieux. Elle fut fermée en 1975. La Bibliothèque Nationale racheta la galerie. En 1986, l’architecte Blanchet la rénova dans un état proche de ce qu’elle était à l’origine..

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Galerie Vivienne

Le président de la Chambre des Notaires, Maître MARCHOUX, souhaitait construire la galerie la plus belle et la plus attractive des passages couverts de Paris. Celui-ci associa pilastres, arcs et corniches, aux différents symboles de la réussite (couronnes de lauriers, gerbe de blé et palmes), de la richesse (cornes d’abondances) et du commerce (caducée de Mercure). La mosaïque du sol est l’œuvre de Faccina. La grande galerie de 42 m de long est suivie d’une rotonde vitrée avec une coupole en verre hémisphérique, d’origine, permettant une aération modulée. La galerie se termine rue des Petits Champs par une vaste salle rectangulaire surmontée d’une verrière monumentale d’où s’élève un bel escalier suspendu menant autrefois à l’appartement de l’ex-bagnard Vidocq. Elle fut inaugurée en 1826. Elle attira bon nombre de visiteurs avec ses boutiques de tailleur, bottier, marchand de vin, restaurateur, libraire, mercier, confiseur, marchand d’estampes ... À partir du Second Empire, la galerie perdit un peu de son attrait avec le déménagement des commerces prestigieux vers la Madeleine et les Champs-Élysées. Depuis 1960, la galerie est redevenue très active. Elle présente des boutiques de mode et de décoration, des défilés de haute couture s’y tiennent.

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Passage des 2 pavillons

Le passage des Deux-Pavillons fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 7 octobre 1986. Cette voie ouverte vers 1820 devait disparaitre lors de la prolongation de la rue de Valois jusqu'à la rue des Petits-Champs, qui resta finalement

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Galeries du Palais Royal

Les galeries de Montpensier, de Beaujolais, de Valois, des Proues et du Jardin entourent les Jardins du Palais Royal. À l’intérieur, on fit construire d’autres galeries dont les vestiges subsistent encore comme la galerie d’Orléans dont il reste les belles colonnades. Le duc d’Orléans, Philippe Egalité, pour subvenir à ses frais importants, agrandit le Palais Royal et loua le rez-de-chaussée à des commerçants, tenanciers de tripots, transformant ainsi le Palais Royal en véritable cité du jeu et du plaisir. En 1786, trois des quatre bâtiments prévus furent achevés selon les plans de Victor Louis. La construction de la quatrième aile fut différée faute de crédits suffisants. À sa place, l’entrepreneur construisit les Galeries de Bois. Elles furent prolongées par une autre galerie en 1792 dont le toit ajouré de dalles de verres lui fit donner le nom de Galerie Vitrée. À la suite d’un incendie qui ravagea la Galerie Vitrée, l’architecte Fontaine détruisit ces deux galeries pour y bâtir une nouvelle galerie, la Galerie d’Orléans

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Colonnes de Buren

En 1986 sous la présidence de François Mitterrand, le ministère de la Culture confie à Daniel Buren né en 1938, la réalisation d’une sculpture de 3000 m² dans la cour d’honneur du Palais Royal : « Les colonnes de Buren ». Tout comme la Tour Eiffel en 1889, le Centre Georges Pompidou en 1977, l’intégration d’une oeuvre contemporaine au patrimoine historique va provoquer une levée de boucliers.

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Le kiosque des noctambules

La nouvelle bouche de métro, située sur la Place Colette, a été construite en 2000 pour le centenaire du Métro de Paris, sous la direction de l’artiste Jean-Michel Othoniel, dans un style controversé. Elle fut inaugurée en octobre 2000. Cette œuvre d’art contemporain a généré beaucoup de commentaires comme l’avaient en son temps généré les œuvres d’Hector Guimard. Les deux dômes du Kiosque des Noctambules (un représentant le jour et l’autre la nuit), fait de billes de verre coloré de Murano, insérées dans une structure en aluminium, fait de cette œuvre un travail original et inattendu dans l’environnement très classique de la Place Colette.

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Galerie Vero-Dodat

En 1826, deux investisseurs, le Charcutier Véro et le Financier Dodat, décidèrent de construire une galerie entre les rues du Bouloi et Jean-Jacques Rousseau. Ils firent bâtir une galerie néo-classique avec des ornements en cuivre et fonte, des miroirs, des peintures, des colonnes, et un sol pavé de marbre noir et blanc et de globes de lumière. La Galerie Véro-Dodat doit son succès à la boutique des « Messageries Laffitte et Gaillard », située face à l’entrée, sur la rue Jean-Jacques Rousseau. Les voyageurs en attendant leurs diligences allaient flâner parmi les magasins à la mode. On y trouvait la boutique « Aubert » qui imprimait et vendait les journaux « Le Charivari » et « La Caricature ». Le Second Empire et la disparition des « Messageries » marquèrent le déclin de la galerie. L’échoppe « Aubert » disparut et fut remplacée par un marchand de malles. Même si l’attrait de la galerie diminua, elle continue à offrir au promeneur une image évolutrice de la Belle Époque. Elle fut restaurée en 1997.

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Passage du Bourg l'Abbé

Il a été réalisé par l'architecte Auguste Lusson en 1828. Le passage du Bourg-l'Abbé d'une longueur de 43 m, à l'origine il se prolongeait jusqu'au passage de l'Ancré, mais il a été entaillé par le percement du boulevard de Sébastopol. L'entresol conserve des ornements d'origine. Seule l'entrée du côté de la rue Palestro, conçue par l'architecte Henri Blondel en 1863 , également architecte de la Bourse de commerce. A l'entrée Cariatides sculptées par Aimé Millet, figurant l'Industrie et le Commerce (pièces de machines, ancre et ruche)

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Passage du Grand Cerf

En 1825, la maison du « roulage du Grand Cerf », qui était le terminus des Messageries Royales, fut démolie. La date d’ouverture du passage reste imprécise. Sans doute, vers 1835, il fut ouvert. Le style de la verrière est cependant plus tardif. Son histoire est étroitement liée à l’histoire du quartier : le quartier Saint-Denis était en 1830 le plus populaire et industrieux de Paris où l’on y trouvait des petites fabriques et des ateliers. L’apparition de passages plus luxueux fit de l’ombre au Passage du Grand Cerf. Pourtant, la qualité de son architecture mérite une attention. Sa hauteur, 11,80 m, est la plus importante de tous les passages parisiens. En 1862, il fut légué à l’Assistance Publique. Une désaffection progressive a nui à son entretien. Délaissé pendant de nombreuses années, le Passage du Grand Cerf a été réhabilité en 1990. Il est aujourd’hui l’un des passages les plus attrayants de Paris.

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Passage du Ponceau

Le Passage du Ponceau, ouvert en 1826, a subi la même évolution désastreuse que la plupart des passages du Sentier. Le percement du boulevard Sébastopol en 1854, en a réduit sa longueur. Il ne reste plus grand chose de la construction d’origine : ni la verrière, ni les luminaires, ni aucun élément de décoration. Seules quelques moulures résistent encore au temps. Le passage du Ponceau, face au Passage du Caire, est devenu un entrepôt parmi tant d’autre dans le Sentier.

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Passage de l'industrie

Ce nom a été donné par le propriétaire car la voie était bordée de boutiques et d'ateliers qui avaient rapport au petit commerce et à l'industrie parisienne. De nos jours principalement consacré au commerce de matériel pour coiffeurs. Ce passage est ouvert en 1827 entre la rue du Faubourg-Saint-Denis et la rue du Faubourg-Saint-Martin ; la partie comprise entre la rue du Faubourg-Saint-Martin et le boulevard de Strasbourg a été renommée en 1936 sous l'appellation de « rue Gustave-Goublier ».

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Passage Brady

1828 Il reliait autrefois la rue du Faubourg-Saint-Denis à la rue du Faubourg-Saint-Martin, avant d'être scindé en deux par la percée du boulevard de Strasbourg en 1852. Seule la partie débouchant au n° 46 de la rue du Faubourg-Saint-Denis est couverte d'une verrière.

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Cour et passage des petites écuries

Elle a été formée sur l'emplacement des Petites Écuries du roi Louis XVI, et n'avaient originairement que deux issues. En 1819, il en a été pratiqué une troisième dans la rue d'Enghien.

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Passage Verdeau

Ouvert en 1846 par la Société du Passage Jouffroy, il reçut le nom de l’un des membres de cette société. Dans le prolongement des passages Jouffroy et Panoramas, il a toujours souffert de la comparaison. C’est pourtant l’un des plus clairs, des plus aérés, avec sa haute verrière en arête de poisson et un dessin très épuré de lignes néo-classiques. Dès l’ouverture de l’Hôtel Drouot, le Passage attire de nombreux collectionneurs. Outre de vieux livres, on trouve dans ce passage, des appareils photographiques d’occasions, des meubles anciens, des broderies. À cet agréable bric-à-brac s’ajoutent plusieurs restaurants et salons de thé.

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Passage Jouffroy

Crée en 1836, c’est l’un des passages les plus fréquentés. En effet, en 1882, M. Meyer, directeur du journal « Le Gaulois » eut l’idée de s’associer avec M. Grévin, alors célèbre caricaturiste, pour créer une galerie de personnages en cire. Le passage Jouffroy est le premier passage construit entièrement en fer et en verre. Ses structures métalliques témoignent de l’évolution des techniques, des colonnes de fonte soutiennent les planchers et s’élèvent jusqu’à la verrière. Le passage fut le premier à être chauffé par le sol. Remarquer la verrière en ogive. La configuration du terrain obligea les architectes à créer un décrochement en «L» à partir d’un escalier qui rattrape une légère déclinaison. Les cafés-concerts et les beuglants connurent une vogue immense au 19e siècle, le plus célèbre, l’Estaminet Lyrique fit long feu. Les boutiques du passage furent toujours de qualité, cafés, modistes, tailleurs, coiffeurs, lingerie, magasin de gants… Il a été entièrement rénové en 1987 et, à cette occasion, a recouvré son dallage d’origine. Le passage Jouffroy a gardé tout son charme des origines et est toujours très visité. À l’entrée du passage boulevard Montmartre l’hôtel Mercure Ronceray, vieil établissement parisien où vécut le compositeur Rossini de 1828 à 1832, il y composa l’opéra «Guillaume Tell» .

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Passage des Panoramas

En 1799, l’armateur américain Thayer fit construire sur le boulevard Montmartre les deux tours dans lesquelles il installa ses panoramas, fresque peinte couvrant les murs d’une rotonde. Afin de faciliter l’accès du Palais Royal au Boulevard et d’attirer la clientèle, il ouvrit le passage des Panoramas qui mettrait les passants à l’abri de la pluie et de la boue à l’emplacement de l’ancien Hôtel de Montmorency. En 1834, les Galeries Saint-Marc, des Variétés, de Feydeau et de Montmartre furent adjointes par l’architecte Jean-Louis Grisart pour concurrencer les galeries Colbert, Vivienne et Véro-Dodat. Le succès du passage fut immédiat grâce à l’enthousiasme des parisiens pour les panoramas, à son exceptionnel emplacement sur le boulevard, à proximité de la Bourse, et surtout du Théâtre des Variétés qui vient s’y adosser en 1807. En 1816, on y expérimenta l’éclairage au gaz. Les rotondes du boulevard Montmartre furent démolies en 1831. Mais si la vogue des panoramas s’éteignait, celle du passage se poursuivait. En 1989, la partie située la plus au sud fut largement modifiée par la construction d’un immeuble d’habitation sur la rue Saint-Marc.

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Passage des Princes

Dernier né des passages couverts du 19ème siècle. En 1859, un homme d’affaires, Mirès, acquit l’ancien palace « Grand Hôtel des Princes et de l’Europe », au 97, de la rue Richelieu. La banque Mirès et compagnie put ainsi ouvrir un passage qui profita d’une situation extrêmement agréable. L’inauguration du Passage Mirès en 1860, qui devient le Passage des Princes, annonçait tout à la fois, la fin des passages parisiens et celle du financier qui avait fait faillite. Après avoir été fermé pendant quatre ans, la verrière, les luminaires, les façades intérieures et le sol ont été rénovés et le Passage des Princes rouvrit en 1994. Il ferma à nouveau en 1998. En 2002, le Passage des Princes retrouve enfin son activité, pour devenir le passage du jouet.

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Arcades couvertes de la rue de Rivoli

Aménagée sur la terrasse des Feuillants aux Tuileries, la rue de Rivoli était déjà prévue dans le plan issu des travaux de la Commission des Artistes, pendant la Révolution (1794). Elle est entamée en 1802. Partiellement réalisée en 1835, elle sera achevée en 1855 sous Napoléon III. Avec 3 070 m de long, c’était l’une des voies les plus longues de la capitale. Le nom de Rivoli est donné à la rue en 1804, après la victoire remportée par Bonaparte à Rivoli en Italie, les 14 et 15 janvier 1797. L’arrêté du 1er floréal an X de la République (21 avril 1802) précise en effet : "Les maisons ou boutiques qui seront construites sur ce lot ne pourront être occupées par des artisans et ouvrières travaillant du marteau. Elles ne pourront non plus être occupées par des bouchers, charcutiers, pâtissiers boulangers, ni autres artisans dont l’usage nécessite l’usage d’un four." L’article 6 précise : "Il ne sera mis aucune peinture, écriteau ou enseigne indicative de la profession de celui qui occupera sur les façades ou portiques des arcades qui décoreront le devant des maisons sur ladite rue projetée." juridiquement considérées comme parties communes des immeubles, avec obligation d'autoriser le passage public. L'entretien de ces passages couverts (trottoir, voûtes…) incombe donc aux copropriétaires, « de grandes familles désargentées qui ne s'en occupent pas et ne refont pas les trottoirs défoncés » Les étales y sont tolérés selon une loi de 1981.

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Place Vendome

Typique de l'urbanisme classique français, c'est une des places de Paris les plus célèbres et considérée comme l'une des plus luxueuses du monde. Avec la place des Victoires, la place de la Concorde, la place des Vosges et la place Dauphine, elle est l'une des cinq places royales de la ville. Son architecture est due à l'architecte Jules Hardouin-Mansart qui conçoit, en 1699, un plan d'urbanisme strict auquel doivent se conformer les propriétaires des immeubles. Une grande partie des façades est classée monument historique. En son centre se trouve la colonne Vendôme édifiée en 1810, abattue par les communards, reconstruite ensuite. Avant de devenir un lieu central de l’époque contemporaine pour la joaillerie, la place Vendôme est, avec la rue de la Paix, l'épicentre de l'élégance parisienne durant un demi-siècle, comptant nombre de couturiers ou modistes. L’hôtel de Bourvallais, situé au no 13, est le siège du ministère de la Justice, parfois désigné par métonymie « la place Vendôme ».

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Mètre étalon

Souhaitant rompre avec le système précédant très hétérogène, et suivant le rapport des savants de l’Académie des Sciences, l’Assemblée Constituante institue le 26 mars 1791 le mètre comme système de base des mesures. Puisé dans les mesures naturelles, le mètre correspond alors à une portion du méridien terrestre : la 10 000 000 e partie d'une moitié de ce méridien. L’adoption de ce système uniforme et à vocation universelle ne se fait pas sans rencontrer de difficultés tant les particularismes locaux demeure vivaces. Ainsi la persistance dans le vocabulaire de mesures anciennes comme la livre témoigne bien de ces résistances. A l'origine 16 mètres ont été disposé à travers Paris, de nos jours seuls 2 existent, celui ci et un autre face au jardin du Luxembourg.

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Espace pique-nique a 6 km

7 bancs de 3 ou 4 personnes

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Espace pique-nique à 4,5 km

2 sanisettes à proximité Prochain espace pique-nique à 45 minutes

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Vrai lieu de la naissance de Molière

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La Fontaine des Innocents

L’histoire de la fontaine des Innocents, réalisée par l’architecte Pierre Lescot sur l’initiative du roi Henri IV, remonte à 1550. Située en plein cœur de Paris, elle connaît plusieurs modifications et déplacements avant de trouver son emplacement actuel, dans le quartier populaire des Halles. De style Renaissance, la fontaine des Innocents est décorée de scènes et de créatures mythologiques. Lieu de rendez-vous du quartier, elle est entourée de nombreux restaurants et cafés et le Centre Pompidou se trouve à deux pas.

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Passage Molière

Le passage est ouvert depuis 1791. Il est inscrit au titre des monuments historiques en 1984. La voie tire son nom de l'ancien théâtre Molière, qui se trouvait à proximité, lui-même portant le nom du comédien Molière. Il s'est également appelé « passage des Sans-Culottes » sous la Révolution et « passage des Nourrices ».

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Passage de l'horloge

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Passage de l'ancre

Attention ferme à 12h30 le samedi. Au coeur du vieux Paris, ce passage en est considéré comme le plus ancien. Il devait s'appeler "passage du Puit" avant qu'une auberge ne s'y installe. C'est l'enseigne de cette auberge en forme d'ancre de marine qui lui a donné son nom. Appelée de l'Ancre Royale avant la révolution, puis de l'Ancre Nationale de 1792 à 1805, il porte désormais le simple nom de passage de l'Ancre. Il reliait l'ancienne rue du Bourg-l'Abbé démolie par la construction du boulevard Sébastopol et la rue Saint-Martin. En 1637, à l'autre bout du passage, côté rue Saint-Martin, Nicolas Sauvage remisa dans l'auberge Au grand Saint-Pierre, les vingt premières voitures publiques appelées fiacres. Aujourd’hui, de part et d’autre de l’allée, les bâtisses de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel accueillent pour la plupart des bureaux, ateliers et boutiques originales. Parmi elles se trouvait d’ailleurs Pep’s, le seul magasin de vente et de réparation de parapluies de Paris, lequel a malheureusement fermé ses portes l’année dernière.

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Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou

Le centre national d’art et de culture Georges-Pompidou (CNAC) – communément appelé « centre Pompidou », ou plus familièrement « Beaubourg » – est un établissement pluridisciplinaire né de la volonté du président Georges Pompidou, grand amateur d'art moderne, de créer au cœur de Paris une institution culturelle originale entièrement vouée à la création moderne et contemporaine où les arts plastiques voisineraient avec les livres, le dessin, la musique, le spectacle vivant, les activités pour les jeunes publics, ainsi que le cinéma. Il emploie un millier de personnes et a un budget en recettes de 119,7 M€, composé pour l’essentiel de 78,5 M€ de subventions de l’État et de 41,2 M€ de recettes propres. Inauguré le 31 janvier 1977, le centre Pompidou a accueilli, en 2019, 3 273 867 visiteurs, soit une moyenne de 10 595 visites par jour. Au sein du musée national d'Art moderne / Centre de création industrielle (Mnam / Cci), il conserve l'une des deux plus importantes collections d'art moderne et contemporain au monde, et la première d'Europe avec 113 675 œuvres1 de six mille artistes au 1er janvier 2019 . Il abrite également d'importantes galeries d'expositions temporaires, des salles de spectacles et de cinéma, et la Bibliothèque publique d'information (Bpi), première bibliothèque publique de lecture en Europe.

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Passage Lemoine

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Galerie / Passage du Caire

Situé au cœur du Sentier, le passage est désormais massivement occupé par les grossistes du prêt-à-porter. Assez délabré et ayant perdu une large part de son cachet, le passage n'abrite plus que des boutiques de confection de tissus sans caractère ancien et est parcouru la semaine par les livreurs de vêtements. Sans grand attrait, il est assez délaissé par les promeneurs. Avec ses 370 mètres de longueur, le passage du Caire est le plus long de Paris. En revanche, avec ses galeries de 2,70 mètres de largeur moyenne, il est aussi un des plus étroits.

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Passage Prado

Le plus ancien des passages Parisiens , il a été créé en 1785 sous le nom de Passage du Bois de Boulogne, reprenant le nom du bal qui y était situé. C'était un passage découvert et il possédait déjà la rotonde qui marque l'articulation des deux directions du passage. Il ne fut couvert qu'en 1925 et c'est à cette époque qu'il prit son nom actuel. Le style architectural des supports de la verrière renvoie clairement à l'exposition des Arts Décoratifs de 1925.

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