Liège - Centre et curiosités - Val et Oli
near Saint-Laurent, Wallonia (Belgique)
Viewed 5953 times, downloaded 221 times
Trail photos
Itinerary description
Départ : Pl. Xavier-Neujean 32
4000 Liège (devant l'église)
Parking à proximité :
1) Central Park, place Xavier Neujan (à quelques mètres du départ balade)
2) Parking Neujan - Boulevard de la Sauvenière 55, Liège 4000 (450 places)(dans la rue d'à côté).
Les commentaires sur les curiosités sont inspirés du site de la province de Liège.
Waypoints
Collégiale Saint-Jean
La collégiale fut fondée vers 980. L’édifice subsista jusqu’en 1754, époque à laquelle il fut rasé pour être remplacé par l’édifice actuel. Seule la tour, qui abrite un carillon de 35 cloches, remonte à la période romane. Le cloître du XVIe et XVIIIe siècles renferme de nombreuses pierres tombales anciennes, dont certaines du XVe siècle. Mystère liégeois, l’emplacement de la dernière demeure du premier prince-évêque est toujours inconnu (mais certainement dans la Collégiale).
Opéra Royal de Wallonie
Avant la construction du théâtre royal de 1818 à 1820, l’ancien couvent des dominicains occupait cet emplacement. Lors de la construction du théâtre, des colonnes de l’ancienne église des chartreux ont été réutilisées et installées sur la façade du bâtiment.
Statue Gretry (et son coeur dans son socle !!)
La statue d'André Grétry est l’œuvre de Guillaume Geefs. Réalisée en bronze, elle fut initialement installée, en 1842, place du 20-Août. Ce n’est qu’une vingtaine d’années plus tard qu’elle fut déplacée devant le théâtre royal. Bien que le corps du compositeur repose à Paris, au cimetière du Père-Lachaise, son cœur figure dans le socle de la statue. Si le nom de Grétry est moins connu aujourd’hui, il fut à son époque un compositeur en vogue. Se produisant à la cour du roi de France, il côtoya Rousseau et Voltaire. Ce dernier lui a d’ailleurs dédié un quatrain concernant une de ses œuvres qui avait été mal reçue à la cour " La cour a sifflé tes talents Paris applaudit tes merveilles Grétry, les oreilles des Grands Sont souvent de grandes oreilles."
Collégiale Saint-Denis
La collégiale a été fondée en 987. Tour et nef romane, chœur gothique du XIVe siècle, le chœur roman a été remplacé par le chœur gothique actuel et des chapelles furent accolées aux bas-côtés. À la fin du XVIIe siècle, l'intérieur fut adapté à la mode baroque de l'époque. À voir : retable brabançon du XVIe siècle
Place Saint-Lambert
Il y a encore un peu plus de 200 ans, cet espace était entièrement occupé par la cathédrale gothique Notre-Dame. En 1793, une assemblée de révolutionnaires liégeois vota la destruction de la cathédrale. Il fallut près de 35 ans pour l'effacer entièrement du paysage liégeois. Aujourd’hui, aménagement de la place rappelle l’ancienne cathédrale. L’alignement de ses murs est évoqué par des piliers métalliques et son plan par le pavement de la dalle. La fontaine au centre de la gare des bus est l'oeuvre d’ Halinka Jakubowska, son travail sur la texture de la pierre est intéressant. Autre élément moderne de cette place, ses nombreuses « Mystérieuses », nom des réverbères qui illuminent la place Saint-Lambert et ses alentours. Ils sont l’oeuvre de Fernand Flausch. Sous la place, l’Archéoforum est un musée archéologique inauguré en 2003. Il emmène les visiteurs à la découverte de l’histoire de la place Saint-Lambert, du mésolithique à nos jours. Le sous-sol de la place recèle les vestiges d’occupations anciennes : traces préhistoriques, murs d’une villa gallo-romaine, ou restes d’édifices médiévaux dont des vestiges de la cathédrale romane et de la cathédrale gothique.
Rue Pierreuse
Pierreuse est une artère très ancienne de Liège. Elle tirerait son nom de la nature de son sol riche en grès houiller qui fut exploité très tôt. Difficile de l’imaginer aujourd’hui, mais elle fut, pendant plusieurs siècles, la principale voie d’accès vers la Hesbaye, le Brabant et la Flandre. La rue est bordée par de nombreuses façades des XVIIe et XVIIIe siècle
!! Passer par le n°38 pour la promenade des Remparts
Ca ne ressemble pas à un passage public, mais ça l'est bien ! Passage obligé par cette maison poour rejoindre la balade des coteaux.
Porterie des Minimes
L'entrée de l'ancien couvent est décorée par une œuvre de Roland Breucker qui évoque les légumes. Au sommet des trois premières volées d'escaliers, un cul-de-four creusé dans le mur, marque le début du chemin d'accès au couvent des minimes. Baptisée porterie, cet espace a probablement servi de chapelle. Son entrée est surmontée de l'inscription Charitas, rappel de la devise des minimes.
Couvent et Ordre des Minimes
En arrivant au sommet, le chemin longe de puissants murs, vestiges de l'église du couvent des minimes. De ce couvent, il ne reste presque plus rien. Plusieurs vestiges sont encore, cependant, visibles. C'est le cas de cette longue façade, située dernière la passerelle, qui a conservé la mention « Charitas », identique à celle surmontant l'entrée de la porterie. Ordre voulant se présenter comme le plus humble, d'où son nom de « minimes », il fut fondé au XVe siècle par saint François de Paule. Présents à Liège à partir du XVIIe siècle, les minimes pratiquaient le carême perpétuel qui impliquait de proscrire de leur alimentation la viande, les œufs, le beurre ou encore le fromage.
Terrasses
Les terrasses qui s'échelonnent entre le bas de la ville et les vestiges du couvent des minimes étaient la propriété de ces derniers et des chevaliers teutoniques. La vue depuis cet endroit a toujours émerveillé les voyageurs. Ainsi, Saumery (1690-1767), dans son ouvrage "Les délices du pays de Liège", décrit la vue en ces mots : "De ces terrasses, qui ont différents points de vue, l'on découvre la ville, le vallon, la rivière et quantité de montagnes et de beaux paysages situés au levant, au midi et au couchant. Aujourd'hui encore, ces terrasses offrent une vue exceptionnelle sur la ville qui s'étend dans toute la vallée".
Bois des Mineurs
Prolongeant les terrasses, le bois des mineurs, du nom de la congrégation qui occupait le couvent visible en contrebas, offre un espace boisé inattendu qui contraste avec les terrasses voisines. Outre de nombreuses plantes, comme l'ail des ours, le lamier blanc ou l'alliaire, le site compte plusieurs essences d'arbres intéressantes : magnolia, catalpa, marronnier, érable sycomore ou encore frêne.
Impasse des Ursulines
Le nom de l'impasse renvoie à la congrégation des ursulines dont une partie du couvent, datant du XVIIe siècle, est encore visible au bas de la Montagne de Bueren. Cette impasse peut apparaître comme un petit labyrinthe avec ses venelles qui escaladent la colline de la citadelle parallèlement à la Montagne de Bueren. Mélangeant murs de clôture, de soutènement et habitations, des traces de constructions anciennes y sont visibles.
Ancien relais postal
Situées dans le bas de l'impasse des Ursulines, plusieurs magnifiques façades à pans de bois illustrent bien cette technique de construction. Elles proviennent d'un ancien relais de poste qui était situé dans la rue Saint-Jean-Baptiste. La façade fut remontée à cet endroit dans les années 1970
Brasserie C - Ancien Béguinage du Saint-Esprit
Béguinage du Saint-Esprit Aujourd'hui occupé par une brasserie. C’est une brasserie artisanale à ne pas louper à Liège! Aux pieds des escaliers de Bueren, la Brasserie C est installée dans un ancien couvent. La terrasse est superbe quand il fait beau. Je vous recommande d’y tester la Curtius, une bière blonde et légère aux saveurs fruitées et légèrement amères.
Montagne de Bueren
Ouvrage d’art caractéristique des percées du XIXe siècle, la montagne de Bueren permettait de relier directement la caserne de la citadelle au centre-ville. Cette volée d’escaliers, comptant pas moins de 374 marches, rappelle par son nom le coup de force avorté des 600 Franchimontois. Menés par Vincent de Bueren et Gossuin de Streel, ils tentèrent, la nuit du 29 octobre 1468, de capturer Charles le Téméraire et Louis XI. Mais contrairement à ce que pensent de nombreux Liègeois, les 600 Franchimontois ne sont jamais passés par cet endroit...
Ancienne église Notre-Dame-de-l’Immaculée-Conception
Datant de la première moitié du xviie siècle, l’ancienne église des carmes déchaussés est de style baroque. Sa façade est décorée de nombreuses statues dont une de saint Hubert, avec un cerf à ses pieds, et, au dessus, une de saint Lambert, tenant un livre.
Impasse de l'Ange
L’impasse de l’Ange tire son nom de l’enseigne décorant la façade par laquelle on y accède. Étroite, elle est composée de nombreuses petites maisons qui contrastent avec les imposantes demeures de la rue Hors-Château. Sur le pignon d'une maison de la petite place terminant l'impasse, une petite chapelle en bois dédiée à la Vierge. Appelée à Liège potale, elle est un bel exemple de piété populaire. Dans les vieilles artères populaires du vieux de Liège, les potales sont encore nombreuses.
Rue Hors Chateaux
La plus belle artère du vieux Liège doit son nom au fait qu’elle se trouvait en dehors de la première enceinte construite par Notger à la fin du Xe siècle. À partir du XIVe siècle, Hors-Château fut occupée par la noblesse et les institutions religieuses. La rue compte d’anciennes maisons des XVIIe et XVIIIe siècles, dont certaines sont ornées de riches enseignes.
Cour Saint-Antoine
Regroupant des immeubles à appartements et des maisons datant des XVIIe et XVIIIe siècles, la cour Saint- Antoine est un ensemble architectural intéressant. Les habitations ont fait l’objet d’une restauration entre 1978 et 1985 par l’architecte Charles Vandenhove. La fontaine au centre de la place est datée de 1984. Elle traverse la cour et relie, par une rigole, une pyramide d’inspiration maya à un petit obélisque.
Rue Féronstrée
Féronstrée, rue commerçante du cœur historique, est une des plus anciennes artères de Liège. Elle relie la place du Marché à la place des Déportés. Féronstrée signifie littéralement rue des ferrons. Travailleurs des métaux, maréchaux, forgerons habitaient la rue aux siècles passés. La rue est bordée de nombreux bâtiments classés et des musées, comme le Grand Curtius.
Gaufrette Saperlipopette
Si vous avez une petite fringale, prendre cette rue sur votre droite. Quelques dizaines de mètres plus loin, vous trouverez les différentes vitres de "Gaufrette Saperlipopette", qui a la réputation de vendre les meilleures gaufres de Liège !
Place du Marché, le Perron, et Simenon
La place du Marché est la place la plus ancienne de la ville. On y retrouve deux symboles de la cité : le Perron et l’hôtel de ville. Hotel de Ville où Simenon a épousé Régine Renchon le 24 mars 1923 à la Violette, appellation traditionnelle de l’hôtel de ville. Presque 30 ans plus tard, en mai 1952, le célèbre romancier y est revenu avec sa deuxième épouse où il a été reçu, cette fois en tant que personnalité. À gauche, au pied de l’escalier, le nom d’Arnold Maigret est inscrit sur un mémorial situé sur la façade de l’hôtel de ville. Alors journaliste, Simenon a dû rencontrer plusieurs fois, au hasard des faits divers, ce Maigret liégeois porté disparu en 1945 dans un camp de concentration. S’est-il souvenu de ce nom au moment de créer son célèbre commissaire ? L’écrivain déclara : "Je ne savais même pas qu’il existait un Maigret à Liège.J’aimais rôder, à cette époque, autour de l’hôtel de ville, qui, à Liège plus qu’ailleurs, est le centre réel de la vie du pays. Je flânais, nez au vent [...]. J’aimais le bruit, les allées et venues, les couleurs, les musiques... J’aimais les petits cafés d’alentour qui sentaient le genièvre et que fréquentaient les poètes wallons et les artistes des théâtres locaux." [Georges Simenon, Quand j’étais vieux, 1970]. Devant l'hôtel de Ville, un monument symbolisant les libertés de la cité, le terme Perron désigne la colonne en pierre constituant la partie supérieure de l'édifice.
Arrière Hotel de Ville
D’où vient le surnom de « cité ardente » ? Ce surnom est en fait le titre d’un livre paru en 1905 sous la plume du comte Henry Carton de Wiart, écrivain et homme politique : il s’agit d’un roman historique qui raconte le sac et l’incendie de la ville, en 1468, par les hordes bourguignonnes de Charles le Téméraire (lire ci-dessous). En 1905, année de l’Exposition Internationale de Liège, le prince Albert (le futur Albert Ier) reprend l’expression « cité ardente » pour louer le dynamisme économique de la ville, qui va montrer au monde la puissance de ses activités industrielles. Le surnom est resté pour suggérer une cité animée, aux activités commerciales et culturelles intenses
Pont des Arches
Le pont des Arches est le plus ancien pont de Liège et fut jusqu'au XIXe siècle le seul à enjamber la Meuse. Le premier fut édifié au XIe siècle. Le pont actuel a été reconstruit en 1947. Ses piles sont décorées par des statues qui retracent l'histoire de Liège. On y trouve "La naissance de Liège" et "La Révolution belge de 1830" d'un côté, et" Le Moyen Âge" et "La résistance" à l'occupant allemand de l'autre.
Eglise Saint-Pholien et Simenon
L'église Saint-Pholien fut immortalisée par un roman de Georges Simenon : "Le pendu de Saint-Pholien". S'inspirant d'un fait divers, la découverte d'un pendu à la porte de l'église, Simenon signa avec ce livre de 1931, qui contient l'une des premières apparitions du commissaire Maigret. En effet, Joseph Kleine, un peintre de 24 ans appartenant au groupe de la Caque que fréquenta Simenon, fut retrouvé pendu à la poignée du portail de l’église Saint-Pholien .
rue de Bavière
Voici une des façades les plus ‘iconiques’ de l’architecture liégeoise de style Art nouveau.
Auberge Simenon et oeuvre d'art (quartier de Simenon)
Devant l'auberge, une œuvre entourée de 8 bancs. Sur sept des huit bancs est gravée, en sept parties, une adaptation approximative du début de La Veuve Couderc (le huitième roman portant la signature de Simenon). Une adaptation certes approximative mais non maladroite puisque la phrase ainsi recomposée peut être lue en commençant par n’importe lequel des sept bancs. À côté de l’auberge s’élève l’église Saint-Nicolas qui fut la paroisse de la famille Simenon qui y avait un banc (le dernier de la rangée à droite). L’église reste liée, dans l’esprit de Simenon, à son premier amour d’enfance dont « le clocher carré, pas très beau », domine le quartier et « se dresse, immobile, dans un ciel d’une immobilité menaçante ».
Rue des Recollets et musée Grétry
Comme son nom l'indique, cette rue mène à l'ancien couvent des Récollets. Rue ancienne, elle fut habitée par les drapiers, corporation qui était très présente dans cette partie de la ville. Au n°34, le musée Grétry vous invite à découvrir la vie de ce compositeur au travers de nombreux objets et documents dont certains lui ont appartenu.
Rue Roture
Le nom de Roture viendrait du vieux français rote, signifiant route, et n'aurait pas de lien direct avec le mot roturier. Ruelle populaire, Roture est l'une des vieilles rues d'Outre-Meuse comme en témoignent ses nombreuses bâtisses des XVIIe et XVIIIe siècles. La rue a également conservé une potale, nom donné aux niches et aux chapelles qui accueillent une statue, souvent celle de la Vierge, veillant sur le quartier. Deux grilles placées au début du XXe siècle comment la rue. Appelées "La cage aux lions", elles furent installées afin de freiner la course des enfants et de les protéger du charroi de la rue. Simenon a écrit sur cette rue : "Je crois qu’il n’y a qu’une ville au monde, Liège, ma ville natale, qui s’enorgueillit d’avoir officiellement, depuis des siècles, une rue Roture. C’est une rue étroite, probablement médiévale, qui débouche rue Puits-en-Sock, à une cinquantaine de mètres de l’ancienne chapellerie de mon grand-père. Les maisons y sont minuscules, crépies à la chaux. Lorsque j’étais enfant et jeune homme, une sorte de ruisseau coulait au milieu de la chaussée, charriant, non de l’eau de source ou de la ville, mais de l’eau de lessive, de vaisselle, et même des cabinets. Les habitants n’avaient aucune honte, au contraire, de dire qu’ils habitaient « en Roture », car on disait « en Roture », comme on dit en France « en Avignon ». C’était un monde à part, le plus déshérité de la ville, mais on n’en voyait pas moins des pots de géraniums à bon nombre de fenêtres." [Georges Simenon, De la cave au grenier, 1977].
Légende de Tantches
Situé au n° 58 de la rue Roture, une plaque rappelle que, selon la légende, c'est à cet endroit que Tchantchès vit le jour. Bien que faite de bois, la marionnette Tchantchès à sa propre légende non dénuée d'humour... Ainsi, Tchantchès naquit en Outre-Meuse en l'an 760. Lors de son baptême, sa tête cogna les bords des fonts baptismaux, de là il garda un visage ingrat et un nez disproportionné. Ayant avalé un morceau de fer à cheval, il ne pouvait plus tourner la tête ou la baisser. Malgré tous ces malheurs, cela n'empêcha pas Tchantchès d'avoir une vie bien remplie. Prince d'Outre-Meuse, introduit à la cour de Charlemagne, il était un combattant redoutable avec ses coups de tête empoisonnés. Aucune armure ne pouvait résister à son terrible coup de tête. Après avoir vengé la mort de son compagnon Roland, il rentra à Liège. Il mourut à 40 ans de la grippe espagnole... Toujours selon sa légende, Tchantchès fut enterré là où se dresse sa statue (voir plus loin dns la balade).
Monument Tchantchès
Tchantchès devint au fil du temps l’archétype même du Liégeois. Il était donc légitime de lui élever un monument. Imaginée par Joseph Zomers, le statue représente une hiercheuse, nom donné aux femmes qui tiraient les wagonnets dans la mine, portant la marionnette de Tchantchès
La Grand Poste
Terminée en 1901, la Grand Poste a été réalisée dans le style néogothique. Pour l'extérieur du bâtiment, l'architecte s'est inspiré de la première cour du palais des princes-évêques. Les façades comptent de nombreux éléments décoratifs. Les six grandes statues évoquent des bourgmestres des XVe et XVIe siècles, et les neuf petites statues, le personnel des postes à la même période
VertBois
Fondé en 1701, l'ancien hospice des incurables et des filles repenties se compose de deux bâtiments – l'un pour les femmes, l'autre pour les hommes – encadrant une chapelle dédiée à saint Charles Borromée. Aujourd'hui, l'édifice abrite le siège des institutions économiques de la Région wallonne
Eglise Saint-Jacques
L’abbaye bénédictine de Saint-Jacques a été fondée en 1015. De l’église romane primitive subsistent les vestiges de la crypte. L’église peut être considérée comme une des plus belles du pays de par son architecture et sa décoration intérieure À voir : vitraux (1525-1530), stalles du XIVe siècle (chaises situées de part et d’autre du chœur), mis surtout les peintures de la voûte !
Monument Jean Delcour
Au milieu de la place Saint-Paul (devant la cathédrale) se dresse un monument. un buste représente le sculpteur baroque Jean Del Cour. Grand artiste liégeois, Jean Del Cour vit le jour à Hamoir en 1631. Comme de nombreux artistes, il partit à Rome pour poursuivre son apprentissage. Selon la tradition liégeoise, il aurait été là-bas l’élève du Bernin. De retour à Liège, il réalisa de nombreuses commandes qui ornent encore les églises et les rues de Liège. Del Cour aurait également été approché par Vauban pour travailler sur une statue de Louis XIV. Le sculpteur liégeois aurait refusé prétextant son grand âge et son infirmité. Il décéda à Liège en 1707.
Cathédrale Saint-Paul
Dans le cloître, le trésor de la cathédrale présente une exceptionnelle collection d’œuvres d’art provenant, en grande partie, de l’ancienne cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Lambert. À voir : Christ gisant de Jean Del Cour (XVIIe siècle), vitraux des XVIe, xxe et XXIe siècle, Le Génie du mal de Guillaume Geefs, châsse de saint Lambert (XIXe siècle), peintures du XVIIe siècle, etc.
Quartier du Carré
Quartier typique de Liège (rues en carré), avec de nombreux commerces et restaurants.
Comments (7)
You can add a comment or review this trail
I have followed this trail verified View more
Information
Easy to follow
Scenery
Moderate
Prachtige wandelroute! Wel goed de instructies lezen, want het duurde even eer we nr 38 hadden gevonden :-)
Verder geef ik even mee dat er soms door kerken of gebouwen wordt gelopen die mogelijks met de Corona maatregelen zijn afgesloten. Je loopt hier gemakkelijk omheen.
In elk geval deze wandeling is een topper langs enkele verborgen parels in het mooie Luik.
Bedankt voor deze vriendelijke mededeling!
I have followed this trail View more
Information
Easy to follow
Scenery
Easy
Main highlights of the city. Easy to follow
I have followed this trail View more
Information
Easy to follow
Scenery
Easy
Cest mon quartier de naissance. Jai eu difficile au début. Perte du satellite plusieurs fois erreur de circuit puis des la cour St Antoine magique
I have followed this trail verified View more
Information
Easy to follow
Scenery
Moderate
Super bien fait
Belle promenande, Explications 👍
I have followed this trail View more
Information
Easy to follow
Scenery
Easy
Buena ruta, fácil de seguir, que pasa por los puntos más destacados de la ciudad con buenas explicaciones