Durnal-Crupet

Départ de l'ancienne Gare d'Evrehailles-Bauche

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Durnal

Durnal est une section de la commune belge d'Yvoir située en Région wallonne dans la province de Namur.
Le nom de Durnal signifie "petite Dorinne". Il trouve donc, comme Dorinne, son origine dans le mot celtique durom, signifiant fortin.

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Gare de Purnode

La gare de Purnode est une ancienne gare ferroviaire belge de la ligne 128, de Ciney à Yvoir, située à Purnode, section de la commune d'Yvoir, dans la Province de Namur en Région wallonne.La section de Dorinne-Durnal à Évrehailles-Bauche est inaugurée par les Chemins de fer de l'État belge le 1er mai 1903. Située au fond de la vallée du Bocq, la halte est à bonne distance du village. L'hôtel du Bocq sera bâti à côté.

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Grottes de Crupet

Les Grottes de Crupet ont été construites en 1900 par l'abbé Gérard. Elles sont dédiées à Saint Antoine de Padoue. Quatre scènes sont représentées : St Antoine et le miracle de la mûle, la prêche aux poissons, St Antoine résistant à la temptation du Diable, et la rédemption de St Antoine sur son lit de mort. La statue du Diable de 700kg est la plus célèbre.

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Bauche

Hameau de l'ancienne commune d'Evrehailles - Aujourd'hui hameau de Yvoir - ancienne gare d'Evrehailles sur la ligne du Bocq - Passage de l'aqueduc d'adduction des eaux du Bocq vers Bruxelles (construit au tout début du 20ème siècle) - restaurant "Le Terminus" - Gîte Sources et Cailloux - Château d'Harnoy - Moulin

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Ancienne Carrière du Bois de Bas Stiè

Cette ancienne carrière de grès creusée dans le versant gauche de la vallée du Bocq comprend une petite excavation, limitée vers le sud par une dalle fort érodée en grande partie couverte d'un éboulis, et des pierriers arborés. Peu ensoleillé et fort envahi par des ligneux pionniers, ce site présente un intérêt biologique assez mineur. Toutefois, il se caractérise par l'abondance des fougères (entre autres Dryopteris affinis subsp. borreri, Polystichum aculeatum, Blechnum spicant, Gymnocarpium robertianum, G. dryopteris et Phegopteris connectilis). Calluna vulgaris y subsiste en petites plages. Accès du public: Inconnu Type: Site de Grand Intérêt Biologique (SGIB)

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Basse vallée du Bocq

La basse vallée du Bocq, entre Spontin et Yvoir, montre une diversité géologique, écologique et biologique absolument remarquable. On y rencontre de nombreux habitats comme des forêts alluviales et de ravin, des affleurements rocheux, des éboulis, diverses carrières désaffectées ou non, des pelouses sèches, des prairies pâturées et de fauche, etc. Cette région fut parcourue de longue date par les botanistes qui y trouvèrent nombre d'espèces rares ou relictuelles. L'une des plantes les plus emblématiques de cette vallée est sans nul doute le cynoglosse d'Allemagne (Cynoglossum germanicum), plante disparue partout ailleurs et dont des populations fournies sont présentes aux environs du hameau de Bauche. L'ensemble du site accueille également une riche avifaune et pas moins de 10 espèces d'amphibiens et de reptiles. Accès du public: Pêche.Accès le long des chemins publics. Type: Site de Grand Intérêt Biologique (SGIB)

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Carrières du Cul du Four

Ces anciennes carrières de grès famennien ont été ouvertes dans le flanc droit d'un méandre du Bocq, au sud du village de Durnal, dans le Condroz namurois. Une partie est actuellement aménagée pour les activités de sports-aventure, après avoir servi de terrain d'entraînement pour le tir à balles, tandis qu'une habitation est présente dans le sud du site, au nord du chemin. Le fond de l'excavation, caillouteux et damé, est couvert d'une végétation éparse, fort piétinée au cours de la saison touristique. Ces zones ouvertes portent des pelouses pionnières dont l'intérêt floristique n'est pas négligeable: on y rencontre plusieurs espèces menacées, en particulier la cotonnière allemande (Filago vulgaris), considérée comme menacée d'extinction en Région wallonne, et dont l'avenir dans le site est incertain. D'autres zones préservées montrent une certaine abondance de succise des prés (Succisa pratensis), plante peu fréquente dans la région. Les falaises élevées, dont le développement atteint 300 m de longueur pour une cinquantaine de mètres de haut, présentent des irrégularités et fissures colonisées notamment par la mélique ciliée (Melica ciliata) et l'oseille ronde (Rumex scutatus) qui poussent aussi sur les éboulis au pied des parois rocheuses. Le site constitue un refuge pour une faune riche, notamment pour des reptiles comme le lézard des murailles (Podarcis muralis), les papillons de jour, les orthoptères ou encore les abeilles et guêpes solitaires. Accès du public: - Diminution de la quiétude de la carrière par suite de l'existence d'une habitation et surtout d'un gîte rural. Type: Site de Grand Intérêt Biologique (SGIB)

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Pont ferroviaire de la ligne 128 sur la rivière du Bocq

La ligne 128 est une ligne de chemin de fer belge entre Ciney et Yvoir à travers la vallée du Bocq. La ligne est également connue sous le nom de chemin de fer du Bocq. La ligne fait plus de 20 km de long. Entre Ciney et Braibant, la ligne de chemin de fer est parallèle à la ligne de chemin de fer 162.

A l’origine, il était prévu de construire une ligne de tramway entre Spontin et Yvoir. Compte tenu du grand nombre de carrières, il a été décidé de faire construire une « vraie » ligne de chemin de fer par la SNCB. Le 5 juillet 1898, le tronçon entre Ciney et Spontin est ouvert. Le 1er mai 1902, le tronçon entre Spontin et Dorinne-Durnal est ouvert. Exactement 1 an plus tard, la ligne avait déjà été prolongée jusqu’à Evrehailles-Bauche. Ce n’est que le 1er juin 1907 que le chemin de fer est achevé jusqu’à Yvoir. Le 31 juillet 1960, le trafic voyageurs sur la ligne est supprimé et remplacé par un service d’autobus. Des trains de marchandises ont continué à circuler sur la ligne entre Ciney et Evrehailles jusqu’au début des années 1970. Le 7 novembre 1983, le dernier train de marchandises circule entre Ciney et Spontin-Sources (jusqu’à la carrière de La Rochette qui fournit du lest à la SNCB). La vitesse maximale était de 70 km/h.

Le chemin de fer est à voie unique et n’a jamais été électrifié. D’un point de vue militaire, la ligne n’a jamais été démantelée et n’a été que très peu entretenue jusqu’en 1985.

Depuis 1992, le PST travaille à la réhabilitation de la voie ferrée. Entre juin et septembre, à partir de 1999, les trains-musées du TSP circulent entre Ciney et Spontin le week-end. Le tronçon entre Spontin et Yvoir n’ayant pas été entretenu depuis longtemps, la voie était en mauvais état. Les arbustes et les arbres sont élagués, les traverses sont remplacées, un nouveau ballast est fourni. Un cours d’eau a même été déplacé. Tous les travaux sont effectués par des bénévoles de l’association Le Chemin de Fer du Bocq (CFB).

Depuis 2001, il existe un service vers Dorinne-Durnal. La vitesse est limitée à 40 km/h, comme c’est le cas pour toutes les lignes touristiques belges. Le 1er juin 2007, le tronçon entre Dorinne-Durnal et Purnode a été officiellement inauguré. En juin 2015, la ligne a été prolongée jusqu’à Evrehailles-Bauche.

Les bâtiments des gares de Braibant, Sovet, Spontin, Dorinne-Durnal, Purnode et Evrehailles-Bauche ont été conservés.

Fait partie de « Ligne de chemin de fer 128 - Ponts, tunnels, rivières rapides et le plus beau village de Wallonie ».

Pont ferroviaire de la ligne 128 sur la rivière du Bocq

La ligne 128 est une ligne de chemin de fer belge entre Ciney et Yvoir à travers la vallée du Bocq. La ligne est également connue sous le nom de chemin de fer du Bocq. La ligne fait plus de 20 km de long. Entre Ciney et Braibant, la ligne de chemin de fer est parallèle à la ligne de chemin de fer 162.

A l’origine, il était prévu de construire une ligne de tramway entre Spontin et Yvoir. Compte tenu du grand nombre de carrières, il a été décidé de faire construire une « vraie » ligne de chemin de fer par la SNCB. Le 5 juillet 1898, le tronçon entre Ciney et Spontin est ouvert. Le 1er mai 1902, le tronçon entre Spontin et Dorinne-Durnal est ouvert. Exactement 1 an plus tard, la ligne avait déjà été prolongée jusqu’à Evrehailles-Bauche. Ce n’est que le 1er juin 1907 que le chemin de fer est achevé jusqu’à Yvoir. Le 31 juillet 1960, le trafic voyageurs sur la ligne est supprimé et remplacé par un service d’autobus. Des trains de marchandises ont continué à circuler sur la ligne entre Ciney et Evrehailles jusqu’au début des années 1970. Le 7 novembre 1983, le dernier train de marchandises circule entre Ciney et Spontin-Sources (jusqu’à la carrière de La Rochette qui fournit du lest à la SNCB). La vitesse maximale était de 70 km/h.

Le chemin de fer est à voie unique et n’a jamais été électrifié. D’un point de vue militaire, la ligne n’a jamais été démantelée et n’a été que très peu entretenue jusqu’en 1985.

Depuis 1992, le PST travaille à la réhabilitation de la voie ferrée. Entre juin et septembre, à partir de 1999, les trains-musées du TSP circulent entre Ciney et Spontin le week-end. Le tronçon entre Spontin et Yvoir n’ayant pas été entretenu depuis longtemps, la voie était en mauvais état. Les arbustes et les arbres sont élagués, les traverses sont remplacées, un nouveau ballast est fourni. Un cours d’eau a même été déplacé. Tous les travaux sont effectués par des bénévoles de l’association Le Chemin de Fer du Bocq (CFB).

Depuis 2001, il existe un service vers Dorinne-Durnal. La vitesse est limitée à 40 km/h, comme c’est le cas pour toutes les lignes touristiques belges. Le 1er juin 2007, le tronçon entre Dorinne-Durnal et Purnode a été officiellement inauguré. En juin 2015, la ligne a été prolongée jusqu’à Evrehailles-Bauche.

Les bâtiments des gares de Braibant, Sovet, Spontin, Dorinne-Durnal, Purnode et Evrehailles-Bauche ont été conservés.

Fait partie de « Ligne de chemin de fer 128 - Ponts, tunnels, rivières rapides et le plus beau village de Wallonie ».

Point de vue sur la ligne de chemin de fer 128

La ligne 128 est une ligne de chemin de fer belge entre Ciney et Yvoir à travers la vallée du Bocq. La ligne est également connue sous le nom de chemin de fer du Bocq. La ligne fait plus de 20 km de long. Entre Ciney et Braibant, la ligne de chemin de fer est parallèle à la ligne de chemin de fer 162.

A l’origine, il était prévu de construire une ligne de tramway entre Spontin et Yvoir. Compte tenu du grand nombre de carrières, il a été décidé de faire construire une « vraie » ligne de chemin de fer par la SNCB. Le 5 juillet 1898, le tronçon entre Ciney et Spontin est ouvert. Le 1er mai 1902, le tronçon entre Spontin et Dorinne-Durnal est ouvert. Exactement 1 an plus tard, la ligne avait déjà été prolongée jusqu’à Evrehailles-Bauche. Ce n’est que le 1er juin 1907 que le chemin de fer est achevé jusqu’à Yvoir. Le 31 juillet 1960, le trafic voyageurs sur la ligne est supprimé et remplacé par un service d’autobus. Des trains de marchandises ont continué à circuler sur la ligne entre Ciney et Evrehailles jusqu’au début des années 1970. Le 7 novembre 1983, le dernier train de marchandises circule entre Ciney et Spontin-Sources (jusqu’à la carrière de La Rochette qui fournit du lest à la SNCB). La vitesse maximale était de 70 km/h.

Le chemin de fer est à voie unique et n’a jamais été électrifié. D’un point de vue militaire, la ligne n’a jamais été démantelée et n’a été que très peu entretenue jusqu’en 1985.

Depuis 1992, le PST travaille à la réhabilitation de la voie ferrée. Entre juin et septembre, à partir de 1999, les trains-musées du TSP circulent entre Ciney et Spontin le week-end. Le tronçon entre Spontin et Yvoir n’ayant pas été entretenu depuis longtemps, la voie était en mauvais état. Les arbustes et les arbres sont élagués, les traverses sont remplacées, un nouveau ballast est fourni. Un cours d’eau a même été déplacé. Tous les travaux sont effectués par des bénévoles de l’association Le Chemin de Fer du Bocq (CFB).

Depuis 2001, il existe un service vers Dorinne-Durnal. La vitesse est limitée à 40 km/h, comme c’est le cas pour toutes les lignes touristiques belges. Le 1er juin 2007, le tronçon entre Dorinne-Durnal et Purnode a été officiellement inauguré. En juin 2015, la ligne a été prolongée jusqu’à Evrehailles-Bauche.

Les bâtiments des gares de Braibant, Sovet, Spontin, Dorinne-Durnal, Purnode et Evrehailles-Bauche ont été conservés.

Fait partie de « Ligne de chemin de fer 128 - Ponts, tunnels, rivières rapides et le plus beau village de Wallonie ».

Parking

Vous aimez vous promener dans la vallée d’une ancienne ligne de chemin de fer avec des ponts, des tunnels et une rivière au débit rapide ?

Parking pour la balade «  ».

Voye des Monnis

Voye des Monnis

Code des Monts de RouteYou :

• Longueur : 2.54 km
• Montée : 93 m
• Pente moyen : 3 m / 100 m - 2.78 %
• Pente maximum : 5.35 %

Côte de Durnal

Côte de Durnal

Code des Monts de RouteYou :

• Longueur : 2.4 km
• Montée : 106 m
• Pente moyen : 5 m / 100 m - 4.58 %
• Pente maximum : 11.17 %

Côte de Chansin (Sud)

Côte de Chansin (Sud)

Code des Monts de RouteYou :

• Longueur : 1.14 km
• Montée : 85 m
• Pente moyen : 8 m / 100 m - 7.79 %
• Pente maximum : 11.61 %

Li Voye des Monnis

Li Voye des Monnis

Code des Monts de RouteYou :

• Longueur : 2.79 km
• Montée : 98 m
• Pente moyen : 3 m / 100 m - 3.39 %
• Pente maximum : 5.65 %

Chapelle Saint-Roch Crupet

Belle chapelle sur la route de Crupet à Bauche dédiée à Saint Rochus (de Montpellier).

Fête le 16 août .

Il n'y a pratiquement pas de documents historiques sur Rochus. Ce qui est raconté est donc largement basé sur la tradition orale.

On supposait autrefois qu'il était né vers la fin du 13ème siècle (" 1295) et qu'il mourut en 1327. D'après les dernières recherches, on suppose qu'il devait être né en 1350. Ses parents étaient bien- à la naissance, il avait une tache de vin en forme de croix sur le côté gauche : c'était considéré comme un signe de Dieu.

Après la mort de ses parents, il décide de mener une vie de pèlerin . Il distribue son argent aux pauvres et confie la gestion de ses biens à un oncle. Alors il est parti. S'il venait dans un endroit où sévissait la peste ou une autre maladie , il y restait pour soigner les malades . Certains, il a réussi à guérir au moyen du signe de la croix.

Enfin il arriva à Rome , où il passa trois ans . Sur le chemin du retour, il est de nouveau retenu dans la ville de Piacenza par le fait qu'il y a des pestiférés à soigner. Là, il a finalement été lui-même atteint de la maladie et s'est retiré dans une forêt voisine, craignant de contaminer les autres. Il y fut découvert par un hobereau voisin , car son chien s'enfuyait avec un morceau de pain . Après un examen plus approfondi, il s'est avéré que l'animal fournissait de la nourriture à Rochus de cette manière. La légende suggère que l'écuyer n'était pas populaire dans son milieu. Mais le mérite de Rochus leur a rappelé qu'il faut aimer son prochain comme soi-même. Ainsi le châtelain fut réintroduit dans la vie des gens.

Finalement, Rochus guérit de la peste et rentra chez lui. Il y avait une guerre civile là-bas à l'époque. Il fut immédiatement pris pour un espion. Personne ne l'a reconnu, pas même sa propre famille. Pas même le juge auquel il devait répondre. Et ce juge était toujours l'oncle qui gérait ses biens.

Qu'un pèlerin ne soit pas reconnu par les gens chez lui à son retour est un thème favori dans les récits de pèlerinage médiévaux. La légende veut probablement indiquer que le pèlerin est devenu une autre personne à travers son pèlerinage ; il en est venu à ressembler à Christ. Cela se traduit par le fait que les peuples d'autrefois ne reconnaissent plus le pèlerin revenu : il ne correspond plus à l'ancienne image qu'ils ont encore ; le pèlerin est devenu une nouvelle personne.

Rochus se taisait à l'exemple de Jésus devant Pilate... L'ambiance devait donc être si hostile qu'il pouvait être sûr d'avance que personne ne le croirait de toute façon. Il a été jeté en prison . Il y vécut encore cinq ans (voire huit selon la légende). Puis il est mort . Selon une version, il a été reconnu après sa mort parce qu'il était porteur de papiers d'identité. Une lecture plus romantique dit que sa grand-mère l'a reconnu par la tache de vin bien visible en forme de croix sur son côté gauche. ..

Donjon Carondelet - Crupet

Depuis la construction du château, divers propriétaires ont apporté toutes sortes d'aménagements au château au fil du temps .

Ils ont tous laissé leur empreinte selon leur mode de vie, leurs goûts ou les besoins de leur composition familiale. On peut dire que le constructeur du bâtiment d'origine a fait du bon travail. Au 13ème siècle, il a été construit grand et solidement et le seigneur du château de Crupet a tout fait en ce sens ! Grand? Les dimensions du bâtiment rectangulaire sont de 13,10 sur 9,80 mètres avec une hauteur d'environ 26 mètres. entreprise? Selon les étages, l' épaisseur des murs oscille entre 1,70 mètre au rez-de-chaussée et 1,10 mètre aux étages.

Par leur mariage en 1540, Guillaume de Carondelet et Jeanne de Brandebourg obtiennent le domaine, où ils s'installent en 1568. D'importants aménagements sont réalisés à leur initiative. Il faut savoir que le bâtiment était beaucoup plus austère avant les transformations qu'ils y ont apportées. Il faut aussi imaginer que les trois étages à l'intérieur n'étaient accessibles que par des escaliers de meunier, obligeant les habitants et les visiteurs à se faufiler à travers de petits trous pour passer d'un niveau à l'autre. Pour pallier cet inconvénient , le jeune couple décide de construire une tour cylindrique sur le château existant avec un grand escalier menant à chaque étage, dont celui avec l'extension à pans de bois que les propriétaires ont également conçu. L'escalier est encore utilisable, mais a besoin d'une restauration en profondeur. Incidemment, de l'extérieur, il est très facile de voir comment l'ancien bâtiment et la tour d'escalier sont reliés.

A cette époque, il n'était pas facile de pénétrer dans un donjon forcément bien gardé. Les invités ne devaient pas paraître méfiants aux gardes, qui les voyaient approcher depuis la belle tour-portail , qui permet d'accéder à la ferme. On passait d'abord par cette tour sur laquelle s'élevait un très beau clocheton aux armes des Carondelets . Au sommet de la tour, vous pouvez encore voir les armoiries avec les noms et les slogans de leurs seigneurs.

Après avoir traversé la cour , on arrive à un petit pont à trois arches sous lequel ont été découverts les vestiges de deux anciens ponts en bois des XIIIe et XVIe siècles. Cela nous amène à la porte d'entrée d'origine. Un cadre rectangulaire se dessine autour de l'arc de style gothique légèrement échancré. On appelle cela la feuillure, un espace précisément mesuré par lequel un pont-levis s'insère parfaitement dans la cavité qui lui a été découpée. Cela empêchait les attaquants d'accéder au donjon, car ceux qui n'avaient pas de poignée de porte ou de poignée ne pouvaient pas saisir la porte.

Pas de château sans ferme

Outre les aménagements effectués par les époux Carondelet-Brandebourg, ils décident également de reconstruire en pierre une ferme autrefois construite à partir de matériaux périssables (bois, terre, paille). A côté de la tour du portail , une grange, une écurie et l'ancienne maison de fermier en forme de tourelle en témoignent.

Puisqu'à cette époque il n'était pas aussi facile de gérer les approvisionnements qu'aujourd'hui, les produits de la ferme, la récolte des céréales, l'élevage des poulets, des vaches et des cochons, les fruits du verger et les légumes du potager, et les brasser de la bière tous pour faire leur part. Il est étrange qu'il y ait aussi du poisson au menu . Les carpes mangeaient les déchets de cuisine et les poissons gourmands étaient pêchés dans l'eau des douves du château et servis à la table des seigneurs du château. Le mas, parfaitement intégré au domaine, fait partie du plan de restauration.

Aujourd'hui, le donjon appartient à la famille De Bever, qui accorde également une grande importance aux nouvelles technologies dans le domaine de l'isolation et de l'optimisation thermique.

Ancienne voie 128

Il y a un peu plus d'un siècle était mise en service la ligne 128 entre Ciney et Yvoir. Considérée comme l'une des plus belles sections de chemin de fer de Belgique de par son inscription dans la vallée du Bocq et la présence de nombreux ouvrages d'art (viaducs, tunnels, ponts), cette ligne fait actuellement l'objet d'une exploitation touristique le week end en été. Le tronçon le plus intéressant de la ligne SNCB n°128 longe la vallée du Bocq entre Yvoir et Spontin (km 7,5 à 18,5). La ligne est majoritairement située en remblais, les ponts et les tunnels sont fréquents. Bien que désaffectée, la voie est restée ferrée sur son entièreté et parcourue par un train touristique entre Spontin et Durnal. Sur cette section, les abords de l'assiette sont colonisés par une flore à dominance thermophile et xérique. En aval, certains passages sont envahis par des buissons, mais la majeure partie du tronçon est colonisée par une végétation herbacée ouverte. L'intérêt majeur du site est d'ordre herpétologique, avec des populations de Couleuvre à collier et de Couleuvre coronelle parmi les plus fournies de Belgique. En outre, la ligne constitue un important corridor de migration vers les autres sites de grand intérêt biologique présents dans la vallée.

Ancienne carrière d'Herbois

Cette carrière de grès famennien, située dans la vallée du Bocq au nord du village de Purnode, est désaffectée depuis la fin des années 1990. On y a produit des concassés et des gros blocs mais aussi des pierres de construction. Inclus dans un environnement forestier, le site présente des parties en cours de recolonisation forestière et des zones encore assez étendues de pierriers occupées par une végétation pionnière très clairsemée. Un plan d'eau est présent au pied d'une falaise verticale à végétation pratiquement nulle. Ce site encore relativement jeune présente un intérêt biologique non négligeable par la présence notamment d'une population importante de lézard des murailles (Podarcis muralis), de plusieurs amphibiens dont l'alyte (Alytes obstetricans), de plages de la cotonnière allemande (Filago vulgaris), plante menacée d'extinction en Wallonie, et de l'oedipode azurée (Sphingonotus caerulans), orthoptère découvert en 2012.

Gare de Durnal

La gare de Dorinne-Durnal est une gare ferroviaire située le long de la ligne 128 qui dessert Dorinne et Durnal, toutes deux sous-communes de la commune d'Yvoir. La gare dispose d'une voie de dépassement et d'une voie de fret.

La gare est l'une des gares restaurées du train touristique de la ligne du Bocq (ligne 128) au départ de la gare de Ciney . Actuellement, cette piste est de nouveau utilisée jusqu'à la station Purnode .

La ligne ferroviaire 128 était initialement la liaison entre Ciney et Yvoir. Il traverse la belle vallée de la rivière Le Bocq sur d'innombrables ponts et à travers d'innombrables tunnels. Parce que l'entretien de celle-ci pesait trop lourd dans les coûts, la ligne a été arrêtée au début des années 1960.

Il existe aujourd'hui un train touristique 'Le Chemin de fer du Bocq' . Au départ de la gare de Spontin, le trajet vous emmène à Ciney avant de revenir à Spontin où le trajet se poursuit jusqu'à Bauche et se termine par un retour au point de départ. Durée : environ 1h30.

Grotte Saint Antoine de Padoue

La grotte est aussi appelée la grotte du diable .

La construction a commencé en 1900 et s'est achevée en 1903. Et les constructeurs étaient les habitants de Crupet. Ils l'ont construit pendant leur temps libre du dimanche et presque tous les dimanches pendant plus de 3 ans. On peut dire qu'ils ont été admirables et super courageux. La légende raconte que le curé n'hésitait pas à leur offrir de temps en temps une goutte pour les encourager.

Selon certaines écritures, le prêtre eut l'idée de construire cette grotte afin que les habitants ne s'éloignent pas trop de la pensée divine. C'est aussi l'époque où se développent le socialisme et le libéralisme. Après cela, il a fallu raviver la foi des habitants autour d'une pieuse occupation.

Quelques chiffres :

- période de construction supérieure à 3 ans

- 30 tonnes de ciment

- 300 tonnes de roches

- 700 kg pour la statue du diable

- 3 niveaux, niveau 0 côté esplanade, niveau 1 côté cimetière et niveau 2 accessible par l'avant et l'arrière de la grotte.

Anthony est le saint patron des choses perdues. Dans les milieux catholiques, Antoine est invoqué pour retrouver les choses perdues avec les mots suivants : "Saint Antoine, cher ami, fais-moi retrouver mon..." ou "Saint Antoine, cher saint, fais en sorte que je retrouve mon... trouve" ou "Saint Antoine, saint homme, fais-moi retrouver mon...". Si l'objet a été retrouvé, il faut remercier saint Antoine.

Il est aussi le saint patron des franciscains, des femmes et des enfants, des pauvres, des boulangers, des mineurs, du mariage, des voyageurs et des amoureux et patron contre le naufrage, la peste et la fièvre.

Crupet commémoratif de guerre

Ce monument aux morts est situé près de la Sint-Martinuskerk à Crupet.

Ce mémorial commémore les habitants de Crupet tués ou portés disparus pendant la Première Guerre mondiale.

Pour un petit village, ce monument est assez imposant. Elle témoigne de la ferveur de la population en faveur des anciens combattants.

Crupet a été largement épargné par l'horreur des Allemands. Il n'y a qu'une seule victime civile, Alphons Pierret (1877-1914) tué par un sniper alors qu'il revenait du château à vélo.

Eglise Saint Martin - Crupet

L'église Saint-Martin est solidement implantée sur le versant nord au bord d'une crevasse dans la pente.

Il surplombe le château médiéval et borde à gauche à l'est la surprenante grotte de Saint Antoine . L'édifice est classé depuis 1936. Les plus anciennes fortifications conservées sont la tour et quelques vestiges de la nef de l'époque romane. La tour se distingue par ses proportions élancées mais robustes et ses matériaux : les blocs de calcaire mêlés de grès au niveau inférieur contrastent bien avec la teinte dorée du clocher.

Les cinq meurtrières d'origine au centre de chaque côté libre sont presque toutes obturées . La tour romane est sur plan un pur carré de 5,70 m de côté. La tour avait un étage de moins qu'aujourd'hui, elle avait une hauteur d'environ 12,50m et semblait beaucoup plus robuste. Dans le portail, vous pouvez voir les pierres tombales des seigneurs de Crupet sur les murs et les tomettes sont constituées d'autres pierres tombales. C'est peut-être dommage qu'ils soient usés par les pas, mais c'est leur sort depuis le Moyen Âge.

Dans le cimetière derrière l'église, vous pouvez voir la croix la plus ancienne, datant du 17ème siècle . Au premier niveau de la partie sud, l'emplacement des monuments marque clairement la limite du cimetière

Auberge Dol Besace-Crupet

L'Auberge Dol Besace partage son amour de la bonne chère.

L'Auberge Dol Besace a ouvert ses portes au tournant du siècle et pourtant elle continue d'innover pour proposer des menus d'exception.

Ils vous proposent une cuisine du terroir préparée avec des produits frais de producteurs locaux . En quelque sorte, une cuisine traditionnelle de "grand-mère", remise au goût du jour, où le goût et la qualité prédominent.

Ils ont aussi un gîte à votre disposition