alta-via-1 J09 rifugio-carestiato→agordo
near Chiesa, Veneto (Italia)
Viewed 852 times, downloaded 43 times
Trail photos
Itinerary description
A Trip exported from GARMIN Dakota 20
Départ 7h58, arrivée 12h23. 9,4 km, D+ 60 m, D- 1220 m, bien balisé. Difficulté T2/T3. Nous ferons l'étape avec le brouillard.
La descente commence sur l’étroit sentier « 448 » bien raide pour nos genoux encore engourdis après une nuit agréable et paisible sous des couettes douillettes.
La pente, s'adoucit un peu, 500 mètres plus bas, et nous arrivons au bout d'une piste, avec quelques chalets d'alpage. La petite route goudronnée qui suit, mène à un hameau où des petits tas de foins sont protégés par de curieux « chapeaux » de plastique, bien haubanés. Nous admirons une haie de dahlias multicolores et saluons au passage la chèvre de Monsieur Seguin.
Merveille ! Sur les bords du chemin, à l'écart de toute maison, poussent des cyclamens.
Plus bas, le sentier s’infiltre dans un thalweg où, pour traverser à plusieurs reprises des ruisselets chantants, il nous faut emprunter de petits ponts de bois, rendu bien glissants par l'humidité... Arrivé à deux pas d’Agordo, une navette que nous prenons au vol, nous amène à la gare routière. Les horaires, qui ont changé depuis le 15 septembre, nous contraignent à une longue attente...
Le retour à Villabassa va s’avérer long et compliqué : il nous faut prendre d’abord un car jusqu'à la gare de Belluno où nous sautons dans un train en partance sans avoir eu le temps de prendre des billets. La voie ferrée remonte la vallée du Piave par une succession de tunnels mais permet de temps à autre des vues intéressantes sur le torrent, un barrage, des villages… et des sommets. À Pieve di Cadore – ville natale du Titien – c’est un car qui nous amène à Cortina d’Ampezzo et, après une attente raisonnable, un autre car nous conduit jusqu’à la gare de Dobbiaco dans le Pustertal.
Enfin, quelques minutes plus tard, un dernier train nous ramène à Villabassa où nous retrouvons avec plaisir notre pension Klara. Il est 18 heures et nous pensons avoir eu beaucoup de chance car, en l'absence d'horaires, il nous était difficile de prévoir avec précision les détails de ce retour.
Christian
http://parcourir-le-monde.com
Départ 7h58, arrivée 12h23. 9,4 km, D+ 60 m, D- 1220 m, bien balisé. Difficulté T2/T3. Nous ferons l'étape avec le brouillard.
La descente commence sur l’étroit sentier « 448 » bien raide pour nos genoux encore engourdis après une nuit agréable et paisible sous des couettes douillettes.
La pente, s'adoucit un peu, 500 mètres plus bas, et nous arrivons au bout d'une piste, avec quelques chalets d'alpage. La petite route goudronnée qui suit, mène à un hameau où des petits tas de foins sont protégés par de curieux « chapeaux » de plastique, bien haubanés. Nous admirons une haie de dahlias multicolores et saluons au passage la chèvre de Monsieur Seguin.
Merveille ! Sur les bords du chemin, à l'écart de toute maison, poussent des cyclamens.
Plus bas, le sentier s’infiltre dans un thalweg où, pour traverser à plusieurs reprises des ruisselets chantants, il nous faut emprunter de petits ponts de bois, rendu bien glissants par l'humidité... Arrivé à deux pas d’Agordo, une navette que nous prenons au vol, nous amène à la gare routière. Les horaires, qui ont changé depuis le 15 septembre, nous contraignent à une longue attente...
Le retour à Villabassa va s’avérer long et compliqué : il nous faut prendre d’abord un car jusqu'à la gare de Belluno où nous sautons dans un train en partance sans avoir eu le temps de prendre des billets. La voie ferrée remonte la vallée du Piave par une succession de tunnels mais permet de temps à autre des vues intéressantes sur le torrent, un barrage, des villages… et des sommets. À Pieve di Cadore – ville natale du Titien – c’est un car qui nous amène à Cortina d’Ampezzo et, après une attente raisonnable, un autre car nous conduit jusqu’à la gare de Dobbiaco dans le Pustertal.
Enfin, quelques minutes plus tard, un dernier train nous ramène à Villabassa où nous retrouvons avec plaisir notre pension Klara. Il est 18 heures et nous pensons avoir eu beaucoup de chance car, en l'absence d'horaires, il nous était difficile de prévoir avec précision les détails de ce retour.
Christian
http://parcourir-le-monde.com
You can add a comment or review this trail
Comments