RY-boucle sud gravel 54km

Maison Communale de Forest

En 1925, Jean-Baptiste Dewin recevait l'ordre de construire la nouvelle maison communale de Forest, mais à cause des problèmes de financement les travaux n'ont débuté qu'en 1934. En 1939, la Maison Communale était prête. Le bâtiment, qui était l'incarnation de la croissance démographique et économique de Forest, est l'une des réalisations les plus importantes et caractéristiques de l'Art Déco à Bruxelles. Les façades sont décorées avec des motifs d'animaux qui renvoient au nom de la commune - Vorst est un mot du moyen néerlandais qui signifie "forêt" - et au fait que jadis le territoire était occupé par la Forêt de Soignes.

Auteur: Basilica Koekelberg
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Onze-Lieve-Vrouwkerk

En forêt de Soignes se trouvait depuis des temps immémoriaux un chêne étrange et menaçant, connu sous le nom de « chêne du Diable ». Il joua un rôle considérable dans différentes légendes de la région. Pour rompre cette réputation, un boucher bruxellois demanda, sur son lit de mort, de clouer une image de Jésus sur un chêne tout proche. De là provient dès 1636 le nom de Jezus Eik (chêne de Jésus). Le nombre de pèlerins allant croissant, la petite chapelle attenante fut remplacée en 1650 par l’actuelle église baroque à nef unique (église-halle). Les restes du chêne et de la petite chapelle se trouvent sous le maître-autel. Lorsque l’on construisit l’église, Jezus Eik était un hameau reculé. Aussi fut-il décidé de construire une habitation attenante à l’église pour le recteur. Ce presbytère forme, avec l’église, un seul ensemble classé. Sur les murs du chœur et les autels latéraux se trouvent des lambris marbrés en bois avec des peintures du 17e siècle. La toile de l’Annonciation de l’ange Gabriel à Marie derrière le maître-autel fut offerte en 1632 par le peintre Andries de Licht en remerciement pour la guérison de sa fille. Les lambris en bois comportent en outre tout un ensemble de peintures votives, dont 13 portraits d’enfants  placés en signe de gratitude pour une guérison ou pour une faveur obtenue, comme gage contre maladies et accidents ou pour garder vivant le souvenir d’un enfant.L’image miraculeuse de Marie à l’Enfant date des années 1550-1600. Le confessionnal baroque (nord) a été offert par le duc Ignace d’Arenberg (17è siècle). Sur le pied des fonds baptismaux en pierre de taille (1756) se trouve un relief de Notre Dame à l’Enfant. Les vitraux récents (Steyart) représentent l’histoire de la statue et de Jezus Eik (le chêne de Jésus).

Auteur: Wizpr.guide
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Evere

Evere est une des dix-neuf communes bilingues de la Région de Bruxelles-Capitale en Belgique. Ses habitants sont appelés les Everois et son saint patron est saint Vincent. Evere contient 5 départements Germinal, Picardie, Platon, Destrier, Saint-Vincent.
En 1954, un arrêté royal sort la commune de l'espace néerlandophone de l'ancienne province de Brabant pour la rattacher à l'arrondissement administratif de Bruxelles-Capitale. D'emblée, Evere se dote d'un statut, d'un enseignement communal et d'une administration bilingue ce qui en fait, avant même Bruxelles et avant les premières lois linguistiques de 1963 qui ont réglementé l'emploi des langues dans l'enseignement, la première commune de Belgique à adopter cette position.

Auteur: Wikipedia
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Cimetière de Bruxelles

Le Cimetière de Bruxelles situé sur le territoire de la commune d'Evere est le cimetière principal de la Ville de Bruxelles, qui possède également le cimetière de Laeken et ceux des anciennes communes de Haren et de Neder-Over-Heembeek. Avec une superficie de 38 hectares, il est le plus étendu des cimetières de la région de Bruxelles-Capitale.
À la suite du décret de l'Empereur Joseph II du 26 juin 1784, interdisant d'ensevelir dans les églises et ordonnant la suppression des cimetières dans l'enceinte des villes, les paroisses de la ville de Bruxelles gestionnaires des cimetières, s'associèrent pour ouvrir trois cimetières à peu de distance des portes, à Saint-Josse-ten-Noode, Saint-Gilles et Molenbeek-Saint-Jean.

Auteur: Wikipedia
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Linkebeek

Linkebeek [linkəbeːk] est une commune de Belgique située en Région flamande dans la province du Brabant flamand.
Linkebeek est l'une des six communes à facilités de la périphérie bruxelloise avec Kraainem, Drogenbos, Rhode-Saint-Genèse, Wemmel et Wezembeek-Oppem. Elle est située dans l'arrondissement judiciaire de Bruxelles et fait partie des arrondissements électoral et administratif de Hal-Vilvorde. La commune fait partie de ce qui est appelé la périphérie sud de Bruxelles.

Auteur: Wikipedia
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Bruxelles

Bruxelles a reçu une attention beaucoup plus négative en 2015-2016 à la suite des attentats terroristes à Paris et leur relation avec Bruxelles. Bruxelles a été dépeint par les médias internationaux comme une ville dans une zone de guerre. Visit.brussels voulaient changer cette perception avec une réponse honnête. Découvrez cette campagne fantastique.

Auteur: RouteYou
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Nero

Au croisement de la Henri Caronstraat, de l'Albert Biesmanslaan et de la J.B. Charlierlaan, nous apercevons la station de tram, rendue célèbre par la bande dessinée Néron, dessinée par Marc Sleen. Depuis le 10 septembre 1994, Néron se pavane devant sa maison. Le sculpteur Luc Cauwenberghs, de Tervuren, a immortalisé le célèbre héros de bande dessinée en une statue de 2,15 m.
Depuis la parution de l'album "Les jumeaux diaboliques", il s'agit également de la maison de Néron.

Auteur: Itinéraires cyclistes BMW
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Bourse

Le palais de la Bourse, avec ses larges marches, est le lieu de rencontre par excellence dans le centre.

Dès 1870, la ville médiévale laissa place à l’aménagement d’avenues centrales, qui constituent aujourd’hui encore un axe nord-sud important. Les appartements, entrepôts et brasseries attirèrent la bourgeoisie vers le centre. Des bâtiments publics tels que ce palais de la Bourse se dressèrent. La Bourse fut bâtie entre 1868 et 1873 selon un concept de l’architecte Léon Suys.

Depuis 2015, le boulevard Anspach est une zone piétonne sans voitures. On la doit à un mouvement citoyen ludique, qui organisa en 2012 divers pique-niques sur la place pour fermer l’axe routier alors encore fort fréquenté.

ASTUCE : la station de métro abrite un véritable centre cycliste. Au point vélo de Cyclo, vous pouvez louer, garer ou faire réparer des vélos.

Bas Evere

Jusqu’à la chaussée de Haecht, vous passerez par Bas Evere, la plus ancienne partie de la commune d’Evere. Les constructions d’origine furent quasiment perdues lors de bombardements durant la Deuxième Guerre mondiale. Cependant, l’ancien village dans le plan des rues est encore perceptible.

Evere restera longtemps une ville du Brabant, mais dut dès le 19^e siècle céder des terres au niveau du canal et autour de la voie ferrée à la Ville de Bruxelles. La ville se rapproche. En 1954, Evere fit partie intégrante de la Région de Bruxelles-Capitale.

Moensberg

Moensberg

Code des Monts de RouteYou : E_4_e

• Longueur : 1 km
• Montée : 37 m
• Pente moyen : 3 m / 100 m - 3.08 %
• Pente maximum : 4.99 %

Hengstenberg

Hengstenberg

Code des Monts de RouteYou : D_4_d

• Longueur : 1.4 km
• Montée : 50 m
• Pente moyen : 4 m / 100 m - 3.55 %
• Pente maximum : 6.22 %

Le Vellemolen

Dès le Moyen-Âge, l'eau de la Woluwe fut utilisée par les moulins à eau (il y en eut jusqu'à quatre à Woluwe-Saint-Lambert), installations qui nécessitaient des conduites et des dérivations pour fournir une puissance hydraulique suffisante pour entraîner la roue des moulins. Le moulin du Vellemolen, qui a donné son nom au chemin, fut érigé en 1600. Il connut divers usages, comme la fabrication de farine, le foulage de la laine, le tannage des peaux ou encore la fabrication de papier. Il fut détruit vers les années 50, après avoir été occupé par le dernier berger de la commune. Son nom fait référence à l'une de ces fonctions, à savoir le tannage des peaux.

La réserve naturelle de l'Hof ter Musschen

En rive droite de la rivière se trouve une vaste prairie humide, partie importante, en superficie et sur le plan de la biodiversité (faune et flore), de la zone verte de haut intérêt biologique de l'Hof ter Musschen. Cette prairie est alimentée en eau par des sources qui se trouvent au pied du flanc de la vallée. Une partie des roseaux y sont fauchés annuellement par les bénévoles de l'association naturaliste de la CEBE, afin d'éviter l'atterrissement de cette zone humide.

En savoir plus (site de la CEBE) :  https://www.cebe.be/cebe/index2.php?s=1&l=f&tb=tb_sites&tb2=&m1=htm&m2=site&m1tc=false&idform=

La ferme et le fournil de l'Hof ter Musschen

L’Hof ter Musschen ou ‘Ferme aux moineaux’ fut un complexe agricole dont les origines se perdent loin dans le temps. Une partie des bâtiments de la ferme brabançonne remonte probablement à 1741, millésime inscrit sur un de ses murs. Les derniers fermiers cesseront définitivement leurs activités en1979, sur un site qui exploita jusqu’à 50 ha de terres. Rénovée en 1994, la ferme accueille aujourd’hui des réceptions. La même année, ce site semi-naturel de 10 ha à la faune et à la flore variée sera classé en zone à haute valeur biologique.

Le fournil situé un peu à l'écart de la ferme, près du chemin, a été rénové il y a plusieurs années grâce aux membres de la CEBE. Des animations de boulangerie traditionnelle (préparation de la pâte, cuisson) y sont organisées pour le grand public. 

Gare du Midi

L’exploration commence à la Gare du Midi, qui marque la frontière entre les communes de Saint-Gilles et d’Anderlecht. En 1989, les autorités ont voulu rendre Bruxelles accessible en TGV. Une extension de la gare du Midi a donc été prévue, avec un terminal pour le Thalys et l’Eurostar. Pour pouvoir accueillir les dizaines de milliers de passagers supplémentaires, le hall central sous les quais a été entièrement rénové. Après la démolition de certains murs, l’espace ainsi libéré a été occupé par des établissements horeca et des magasins. Le quartier de Cureghem se trouve du côté ‘Anderlecht’ de la gare. C’est là que la Gare du Midi a été étendue sur environ 15 mètres de large. Une partie de la rue de France a disparu au profit de la construction du comptoir d’enregistrement d’Eurostar et d’une nouvelle galerie commerçante.

Parc de la Senne

Cette première partie du Parc de la Senne (2016) a été aménagée sur l’ancien lit de la Senne et continue de l’autre côté de la rue Masui. Avant cela, c’était une zone à l’abandon, tout en longueur, le long des façades arrière d’anciens bâtiments industriels. Après l’assainissement du sol lourdement pollué, on a aménagé une promenade en bois et en béton. Les plaines de jeux, les places de pique-nique et les potagers collectifs sont là pour donner un espace de respiration à ce quartier densément peuplé et défavorisé. Quand le Parc de la Senne sera terminé, il formera un long ruban vert d’1,6 km du Quartier Nord au Domaine Royal de Laeken, de l’autre côté du canal. Les promeneurs et les cyclistes pourront, relativement librement, se frayer un passage à travers le quartier, avec des endroits plus sécurisés qu’actuellement pour traverser, c’est du moins ce que l’on espère.

Place Sainte-Catherine

C’est ici que se trouvaient au Moyen Âge, remplies d’eau, les douves de Bruxelles, au pied de la première enceinte. Alors que la ville s’étend et qu’une seconde enceinte est construite, ce mur et ces douves perdent leur utilité. La place Sainte-Catherine a été construite sur un quai remblayé, et flanquée d’une église dans le nouveau style de l’époque, « l’Éclectisme », qui consistait à mélanger des styles déjà existants. Les critiques se trompent quand ils qualifient l’église de « péché de jeunesse » de Jozef Poelaert. Lorsque le soleil brille et que le ciel est bleu, vous avez l’impression d’être dans le sud de l’Europe lorsque vous levez les yeux vers les tours élégantes et leur dôme.

Grand-Place

La Grand-Place de Bruxelles est la place la plus décorée d’Europe, et cela n’a rien d’étonnant. Les 13, 14 et 15 août 1695, les troupes françaises, sous le commandement d’un confident de Louis XIV, François de Neufville, duc de Villeroy, fait pleuvoir 4 000 boulets de canon, 5 000 bombes et 2 000 grenades sur la ville, qui s’embrase immédiatement et est totalement ravagée par les flammes. L’Europe s’indigne et réagit avec horreur face à cette guerre totale où, pour la première fois, les populations civiles ne sont pas épargnées. Après la catastrophe, la ville se relève de ses cendres, mais elle adopte de nouvelles réglementations en matière d’incendie, impose l’alignement des constructions et accorde une plus grande attention à la sécurité, à l’hygiène et à la circulation. Les guildes de la Grand-Place apportent également leur contribution en ornant leurs maisons reconstruites en pierres naturelles de statues et de feuilles d’or, qui font de la Grand-Place un lieu unique aujourd’hui encore.

Cathédrale des Saints Michel et Gudule

Ayant vaillamment résisté au bombardement de 1695, la cathédrale est l’un des plus anciens bâtiments de la ville. Elle a également échappé à une autre démolition, ce qui est exceptionnel, car c’est au pied de la cathédrale, sous la chaussée en béton, que passe la Jonction, la liaison ferroviaire nord-sud dont les travaux ont duré de 1902 à 1952. Lors de la construction du tunnel, une grande partie de la vieille ville a été démolie : regardez autour de vous, vous verrez que la cathédrale est le seul bâtiment ancien. Pourtant, cette vieille dame souffre des vibrations causées par le métro et le train qui passent sous ses fondations. Lors de sa restauration, qui a duré plusieurs décennies, les contreforts qui soutiennent le toit s’étaient tellement écartés que l’ensemble menaçait de s’effondrer. Jusque tard dans la nuit, le conservateur de l’époque a fait venir des mineurs siciliens afin de creuser sous les contreforts et de leur donner une fondation plus stable, ce qui a permis de sauver la cathédrale.

Abbaye de Forest

Le site de l’Abbaye de Forest, dont l’histoire remonte au moyen-âge, forme avec l’hôtel communal, le cœur historique de la Commune de Forest. L'abbaye, fondée en 1106, fut un grand propriétaire terrien sur Bruxelles et alentours. Le site est classé monument historique depuis 1994. Il s’agit d’un élément majeur du paysage religieux d'antan de la région. Le bâti est arrivé jusqu'à nous après avoir traversé une succession de péripéties. En effet, il aura été impacté successivement par les épidémies de peste, par les guerres de religion au 16eme siècle, par un incendie en 1764 et enfin par la Révolution française qui entraine son démantèlement en 1790. Vers 1810, l’abbatiale et le cloître sont démolis, seuls subsistent les bâtiments plus récents de l'architecte Dewez. Actuellement le site effectue une nouvelle mue vers l'ABY, lieu culturel polymorphe à venir.

Moulin de Nekkersgat

L’ancien moulin du Nekkersgat, niché dans un écrin de verdure, constitue un exemple typique de l’architecture rurale brabançonne du 17eme siècle. Les petites rivières de la région étaient en effet constellées de moulins, structures industrielles majeurs de nos paysages jusqu'à leur supplantation par les minoteries et autres machineries modernes au 20eme siècle. Tour à tour moulin à farine, moulin à huile et moulin à papier, il cessa de fonctionner après 1918 et la machinerie fut alors enlevée. En 1970, la commune d’Uccle le sauva de la démolition et des activités artisanales et artistiques s'y développèrent. La restauration complète du moulin et de ses abords, à l’initiative de la commune d’Uccle, a rendu au site tout son charme. Il n'a d'équivalent dans la région que le moulin de Lindekemale le long de Woluwe.

Monument aux forestiers

A une courte distance de notre parcours (environ 200m) se trouve un bien singulier mausolée. Il semble que les esprits même de la forêt de Soignes ont été conviés sur le site du ‘monument aux forestiers’, commémorant sous la forme d'un cercle de monolithes de pierres, la disparition de 11 forestiers morts durant le conflit 1914-1918. Richard Viandier, peintre passionné de la forêt de Soignes, collabora avec l'Administration des Eaux et Forêts pour laquelle il réalisa plusieurs expositions. Il s'est ici inspiré des rites funéraires de la tradition celtique, et l'ensemble prend la forme traditionnelle d'un "Cromlech". De ce lieu, inauguré le 30 mai 1920, il se dégage une atmosphère forte.

Nemo 33

En 2004, la piscine couverte la plus profonde du monde a ouvert ici, 33 mètres de profondeur. Entre-temps, de nombreuses piscines plus profondes ont été construites dans le monde, mais Nemo 33 reste toujours une référence dans le monde de la plongée sous-marine. Nemo 33 reste également innovant. En occurrence vous pouvez y dîner ou lire une bande dessinée sous l'eau. Une piscine de 24 m de profondeur a également été aménagée à l'extérieur. En raison de litiges concernant les permis, cette section n'a pas encore pu être ouverte au public, vous pouvez observer le bassin du vélo.

Espinette-Centrale

La porte d'accès de l'Espinette-Centrale permet un accès facile à la forêt depuis Rhode-St-Genèse. Depuis Espinette-Centrale, vous pourrez faire de belles promenades sur les drèves et dans les vallons. Les cyclistes trouveront également des itinéraires à leur goût. À l’Espinette-Centrale, vous trouverez une nouvelle grande zone clôturée où votre chien se dépenser en toute liberté.

Groenendaal

Si vous débutez votre visite en forêt par la porte d’accès de Groenendael, vous serez plongé dans l’histoire du prieuré. Ne manquez pas une visite du musée de la forêt Jan van Ruusbroec et une balade dans l’arboretum.

Accès à la porte d’accueil de la Forêt de Soignes de Groenendaal difficile en voiture à partir du 18 octobre 2021. 

À partir du 18 octobre 2021, les travaux sur le Ring entraîneront de nombreuses perturbations du trafic, pendant une période d’au moins un an. La porte d’accès de Groenendaal ne sera donc pas facilement accessible en voiture. Cliquez ici pour plus d’informations à ce sujet. Le meilleur moyen pour rejoindre Groenendael reste le train.