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Waterloo-Champ de Bataille - Val et Oli

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Trail stats

Distance
22.64 mi
Elevation gain
784 ft
Technical difficulty
Moderate
Elevation loss
784 ft
Max elevation
521 ft
TrailRank 
35
Min elevation
229 ft
Trail type
Loop
Coordinates
166
Uploaded
July 9, 2019
Recorded
July 2019
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near Ohain, Wallonia (Belgique)

Viewed 315 times, downloaded 18 times

Trail photos

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Itinerary description

Longue balade sur et autour du champs de bataille de Waterloo. Passage par les points historiques (monuments en hommage, lion de Waterloo, QG de Napoléon, etc.).

!! La balade se fait (dans de petits tronçons) parfois sur des grands-routes, sur des sites non proégés pour cyclotouristes. Par ailleurs, quelques solides montées.

Départ: Route de Genval, 2 à Lasne (1380), au rond-point (parking facile)

Waypoints

Photo ofSur le champ de bataille

Sur le champ de bataille

Sur la droite, une partie du champ de bataille (côté des Français de Napoléon). Si vous avez le temps de lire, voici l'histoire de cette bataille (source Wikipedia) Napoléon avant Waterloo Napoléon Bonaparte (ou Napoléon Ier), de son nom italien Napoleone de Buonaparte, mais souvent juste appelé Napoléon, est un général et homme d’État français, né le 15 août 1769 à Ajaccio et mort le 5 mai 1821 (à 52 ans) sur l'île de Sainte-Hélène, où il était retenu prisonnier (exilé). De 1793 à 1800, il est général de la République française et s'illustre dans sa brillante campagne militaire en Italie et la plus glorieuse en Égypte. Par le coup d'État du 18 brumaire an VIII (le 9 novembre 1799), il renverse le gouvernement républicain du Directoire. Le Consulat est le nouveau régime qui succède au Directoire. Bonaparte est nommé Premier consul et met en place un régime politique où il dispose de l'essentiel du pouvoir. Il réforme alors profondément la France, en assurant la domination de la bourgeoisie face aux revendications populaires. Nommé empereur des Français sous le nom de Napoléon Ier (1804-1815), il poursuit la guerre contre les autres pays européens qui veulent éliminer le danger représenté par la France révolutionnaire dont il est le continuateur. Maître de l'Europe en 1810 après de grandes victoires comme Austerliz, sa politique rencontre de nombreuses oppositions, surtout en Espagne, en Allemagne, en Autriche et en Russie, sans compter l'hostilité constante du Royaume-Uni. La campagne de Russie de 1812 est un désastre qui annonce la fin de l'aventure napoléonienne. Il doit abandonner l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie et doit, en 1814, défendre la France une nouvelle fois envahie. Vaincu, il abdique en avril 1814. Exilé à l'île d'Elbes, il s'en échappe en mars 1815 et reprend la lutte. Après s'être échappé de l'île d'Elbe, Napoléon débarque en France le 21 mars 1815. Aussitôt les représentants de ses adversaires, qui sont alors réunis à Vienne en Autriche, le déclarent hors-la-loi et « perturbateur du repos du monde ». Ils décident de reprendre la guerre contre la France. Les Autrichiens et les Russes acheminent des troupes vers l'Alsace. D'autres doivent intervenir à partir des Alpes pour menacer Nice et la Savoie. Mais surtout les Alliés massent des troupes en Belgique (région la plus proche de Paris), armées qui pourraient faire une jonction avec les troupes entrées par l'Alsace. Napoléon doit éviter cette jonction. Aussi décide-t-il d'attaquer en Belgique. Bataille Waterloo Le 15 juin 1815, les armées françaises entrées en Belgique passent la Sambre dans la région de Charleroi. Napoléon dispose de 124 000 hommes. Les 93 000 Anglo-Hollandais sous le commandement de Wellington sont positionnés au sud de Bruxelles. Les 117 000 Prussiens de Blücher sont installés à l'ouest de Namur. Les communications entre les deux alliés se font par l'intermédiaire du carrefour des Quatre-Bras qui mène à Bruxelles. Inférieur en nombre, Napoléon décide d'attaquer ses adversaires les uns après les autres. Il commence contre les Prussiens. Mouvements des armées avant la bataille de Waterloo Le maréchal Ney est chargé avec la gauche française de s'emparer de la position des Quatre-Bras et de s'y installer face aux Anglais. L'attaque a lieu le 16 juin dans l'après-midi, ce qui a laissé aux Anglais le temps de s'installer sur des positions fortes. Cependant les Français parviennent à bousculer les Anglo-hollandais (le prince héritier des Pays-Bas sera blessé dans les combats, Wellington abandonne la position, le duc de Brunswick est mortellement blessé). Ney demande l'envoi des 20 000 hommes du corps d'armée de Drouet d'Erlon afin de parachever son succès. Mais il se fait tard et la demande n'est pas satisfaite. La bataille n'est donc pas décisive, les Anglais peuvent se replier. Le même jour, le maréchal Grouchy est chargé d'attaquer les Prussiens en direction de Fleurus et de Gembloux. Or les trois corps d'armée prussiens de Blücher sont positionnés à Ligny. L'attaque ne commence qu'à 14 heures. Les combats sont incertains et Napoléon doit faire donner ses réserves. Dans la soirée les Prussiens sont bousculés, mais Blücher, et surtout son lieutenant Gneisenau, parvient à s'enfuir avec son armée qui se replie vers le nord. Les Prussiens ont perdu 12 000 hommes, les Français 7 000. Croyant avoir sérieusement battu Blücher, Napoléon n'organise pas immédiatement la poursuite. Ce n'est que dans la nuit du 16 au 17, que les Français s'en chargent mais dans de mauvaises directions … et ils ne trouvent pas les Prussiens. Le 17, en fin de matinée Grouchy reçoit de Napoléon l'ordre de poursuivre Blücher pour l'empêcher de rejoindre les Anglais. Grouchy pense qu'il marche plus au nord en direction de Bruxelles. Avec 34 000 hommes, il le poursuit encore le 18 juin dans la matinée dans cette direction (ce qui était les ordres reçus), alors qu'en fin de matinée il entend la canonnade de la bataille qui vient de s'engager plus à l'ouest. Le 17, vers midi, Napoléon avec le corps d'armée du général Lobau et la Garde impériale décident de rejoindre Ney qui, aux Quatre-Bras attend pour poursuivre l'armée anglaise en retraite. Mais les Anglo-Hollandais parviennent à se regrouper et s'installent un peu plus au nord, en terrain connu, sur le plateau du Mont-Saint-Jean, adossés à la forêt de Soignes au sud du village de Waterloo. Ils sont de part et d'autre de la route qui mène à Bruxelles. Il pleut à verse. La bataille de Waterloo Arrivés les premiers sur le terrain les Anglo-Hollandais ont aménagé leur dispositif défensif de direction nord-ouest/sud-est. Ils s'appuient fortement à l'ouest (sur leur droite) sur la ferme-manoir de Hougaumont, au centre sur la ferme fortifiée de La Haie-Sainte et à l'est (leur gauche), sur la ferme de Papelotte. Un repli du terrain leur permet de masquer des troupes installées dans la contre-pente, donc invisibles des Français. Le gros de l'armée est installé sur la colline du Mont-Saint-Jean, devant la forêt de Soignes et du village de Waterloo. Séparés par un creux du terrain, les Français se massent au sud sur le plateau du village de Planchenois, entre Belle-Alliance et Rossomme. Victime d'une indisposition qui l'empêche de monter longtemps à cheval Napoléon n'a pu effectuer une reconnaissance du terrain et de plus dispose de cartes peu fiables. Comme il a plu fortement pendant la nuit, il est difficile de mettre à feu les fusils, le terrain est mou et rend les attaques de cavaleries risquées. Les fantassins ont de la peine à avancer et les canons peu manœuvrables les boulets s'enfoncent en terre sans exploser ou ricocher comme à l'habitude. Pour laisser sécher le terrain, Napoléon décide de retarder l'attaque et de n'ouvrir le feu qu'en fin de matinée. Il se peut également qu'il attende l'arrivée de Grouchy qui devrait apparaître à l'Est s'il a retrouvé et battu Blücher. Carte des forces en présence à la bataille de Waterloo, le 18 juin 1815 La disposition des troupes au début de la bataille À onze heures, les soldats de Jérôme Bonaparte attaquent le château de Hougaumont (poste avancé des Anglais). Il s'agit d'y attirer une partie des Anglais, afin de dégarnir leur centre où Napoléon prévoit de porter l'attaque maximum. Malgré les assauts successifs les Français ne parviennent pas à s'emparer de la position, les victimes sont considérables. 8000 Français s'opposeront à 2000 Anglo-Hollandais pendant toute la journée. Ce sont en fait les Français qui sont fixés loin du point central de la bataille. Au centre après une canonnade assez peu efficace, vers 13H30 les soldats de Drouet d'Erlon et du maréchal Ney attaquent par vagues successives la Haie-Sainte qui résiste. Un peu plus à l'est les fantassins français remontent la pente du Mont-Saint-Jean, mais leur élan est brisé par le tir des Anglais qui s'étaient cachés derrière la crête, et que la canonnade a peu affectés. Les Français reculent poursuivis par la cavalerie anglaise. Vers 15H00, au centre après reprise de la canonnade, la cavalerie emmenée par le maréchal Ney en personne parvient aux lignes anglaises. Accueillis par le tir des carrés anglais, les cavaliers ne peuvent que traverser les lignes puis retourner en arrière sans avoir le temps de rendre inutilisables les canons anglais, qui peuvent immédiatement reprendre du service une fois les Français éloignés. Envoyés par échelon (vagues) et non en masse les cavaliers ne parviennent pas à submerger les Anglais. Là encore c'est un échec. À droite du dispositif français, les troupes du général Lobau attendent la prise de la Haie-Sainte pour descendre du plateau et attaquer la gauche anglaise. Elles sont détournées de ce mouvement par l'arrivée sur sa droite d'un important groupement de soldats, difficilement identifiables : Grouchy ou Blücher ? Napoléon fait courir le bruit que c'est Grouchy. Il s'agit en fait des soldats de Von Bülow, lieutenant de Blücher, qui viennent renforcer les Anglais. Vers 15 heures, Lobau doit donc renoncer à attaquer les Anglais pour affronter Von Bülow, dont la position est mortelle pour l'armée française qui risque d'être débordée sur sa droite. Vers 18H30, la situation est stationnaire à Hougaumont qui est en feu. Les nouvelles charges de cavalerie de Ney parviennent à s'emparer de la Haie-Sainte. Ney demande des renforts pour renforcer sa position mais Napoléon les lui refuse car ses réserves sont tournées vers les Prussiens qui sont sur le plateau de Planchenois. Les troupes de Lobau, malgré le renfort des soldats de la Jeune garde, sont débordées et cèdent devant Bülow, que Blücher vient de rejoindre. Le dernier carré. L'extermination de la Vieille garde, qui meurt mais ne se rend pas Vers 19H30, Napoléon joue alors sa dernière carte. Il accompagne la descente vers la Haie-Sainte, de la Vieille garde, les grognards, les vétérans de toutes les campagnes militaires napoléoniennes, des soldats légendaires en Europe. Comme à la parade ils s'approchent des lignes anglaises et les enfoncent. Wellington parvient à ramener au combat tous les fuyards anglais, terrorisés par la violence des attaques. Mais la cavalerie anglaise renforcée par des soldats de Bülow intervient sur la droite. C'est la panique. Beaucoup de soldats français criant à la trahison quittent leurs rangs et s'enfuient. Isolée la Vieille garde plie sous le choc, c'est la première fois. Elles forme les carrés où s'enferment Napoléon, Ney, Cambronne et se laisse mitrailler sans se rendre. Le désastre français est total. Pendant la nuit (tardive en juin) on réussit à extraire Napoléon du champ de bataille, il regagne Paris. Pendant ce temps, vers 22H00, dans l'enthousiasme de leurs soldats Wellington et Blücher se rencontrent à Sainte-Alliance. Le bilan humain est terrible : 9 500 morts et plus de 30 000 blessés, près de 4 000 disparus. De 8 000 à 10 000 français sont faits prisonniers.

PictographPhoto Altitude 448 ft
Photo ofMonument prussien Photo ofMonument prussien

Monument prussien

Installé en hauteur, monument en hommage aux prussiens qui furent tués par une batterie française placée à cette hauteur.

PictographMuseum Altitude 455 ft
Photo ofFerme du Caillou - QG de Napoléon Photo ofFerme du Caillou - QG de Napoléon

Ferme du Caillou - QG de Napoléon

La Ferme du Caillou est la ferme dans laquelle fut établi le dernier Quartier Général de Napoléon la veille de la bataille de Waterloo. Elle abrite un musée provincial connu sous le nom de Musée du Caillou qui constitue le seul musée napoléonien de Belgique. Ce musée abrite des pièces uniques, comme le lit de camp de l'Empereur ou la table utilisée à l'époque. A côté, une statue de Napoléon.

PictographMuseum Altitude 406 ft
Photo ofMusée de Wellington Photo ofMusée de Wellington

Musée de Wellington

Situé sur la route reliant Bruxelles à Charleroi, le bâtiment fut successivement habitat, auberge, relais puis musée. L'auberge Bodenghien, datant de 17052, devint un relais de poste aux chevaux en 1777. Sa situation géographique et les services qu'elle offrait la firent choisir par l'état-major britannique pour y loger les services du quartier général du duc de Wellington, commandant en chef des armées coalisées. Ce dernier y passa les nuits des 17 et 18 juin 1815 et y rédigea son communiqué de victoire. La totalité du bâtiment principal du musée Wellington ainsi que l'ensemble formé par cet édifice et ses abords sont classés comme monument historique depuis le 12 octobre 1914. En face, superbe église.

PictographMuseum Altitude 404 ft
Photo ofFerme Mont-Saint-Jean

Ferme Mont-Saint-Jean

La ferme a appartenu aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Elle a souvent été erronément attribuée aux Templiers. Dans le porche d'entrée, un blason des chevaliers de Malte est gravé sur une pierre. En 1926, cette pierre, cassée, a été remontée à l'envers mais n'a pas été replacée au-dessus de la porte du porche. Lors de la bataille de Waterloo, la ferme de Mont-Saint-Jean servit d'hôpital militaire aux troupes anglaises. Le Duc de Wellington étant arrivé vers 17 h entre le chemin d'Ohain et la Ferme y passa la nuit du 17 au 18 juin en dormant trois heures tout habillé. Après la bataille, durant près de quatre jours, médecins locaux et chirurgiens opèrent 6 000 soldats alliés et amputent en série, sans anesthésie. Les membres amputés « s'entassent aux quatre coins de la cour de la ferme » A l'intérieur, brasserie avec joli jardin et transats !

PictographPanorama Altitude 444 ft

Lion de Waterloo

La Butte du Lion ou Monument de Waterloo, constitué d'un imposant tertre de terre surmonté d'un colossal Lion belgique, est un monument érigé en 1826, pour éterniser la gloire nationale, sur le site de la bataille de Waterloo, à Braine-l'Alleud, à la demande du roi Guillaume Ier des Pays-Bas qui voulut marquer l'endroit présumé où son fils ainé, le prince Guillaume II, fut blessé à l’épaule à la fin de la bataille. La butte est un cône de terre régulier de 169 mètres de diamètre et 41 mètres de haut accessible par un escalier de 226 marches. Le cône évoque aussi les tumuli des tribus de la Gaule belgique. Ouvert en 1824, le chantier nécessite le déplacement de 290 000 m3 de terres prélevées au sud-ouest de la rue de la Croix jusqu’à la ferme de la Haie-Sainte. Le transport des terres aurait été fait par des boteresses (porteuses de hottes) liégeoises. Cette idée longtemps acquise a été remise en cause avant d'être analysée en profondeur et validée par le travail de Georges Jaquemin5. Le lion fut hissé et posé sur son piédestal au sommet de la butte au soir du samedi 28 octobre 18266. Son succès touristique ne date que de la seconde moitié du xixe siècle. Ce n'est d'ailleurs qu'en 1863-1864 qu'on aménage le promenoir au sommet de la butte avec la construction de l'escalier. En 1832, lorsque les troupes françaises du maréchal Gérard passent à Waterloo pour soutenir le siège de la citadelle d'Anvers toujours tenue par les Hollandais, le Lion faillit être renversé par les soldats français. Ils en brisèrent même la queue Le lion symbolise la victoire et le nouveau Royaume-Uni des Pays-Bas ; sa gueule ouverte est tournée vers la France, vaincue ; sa patte posée sur un boulet de canon représente la paix que l’Europe a conquise à l'issue de la bataille

Monument 21eme régiment de ligne

La stèle au 21e régiment d'infanterie de ligne est un monument élevé sur le site du champ de bataille de Waterloo en Belgique à la mémoire du 21e régiment d'infanterie de ligne français de la division Marcognet. Sur la droite, en contrebas, on voit la ferme de la Papelotte (une des trois fortifications utilisées par Wellington)

PictographPhoto Altitude 397 ft
Photo ofParcours de Golf

Parcours de Golf

Après quelques champs, le splendide terrain de golf de Waterloo. Le chemin qui y arrive surplombe la campagne où étaient installés les anglais et hollandais durant la bataille (voir photo).

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