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Tour des forts

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Trail stats

Distance
37.11 mi
Elevation gain
2,470 ft
Technical difficulty
Moderate
Elevation loss
2,470 ft
Max elevation
801 ft
TrailRank 
16
Min elevation
246 ft
Trail type
Loop
Coordinates
950
Uploaded
July 25, 2020
Recorded
July 2020
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near Flawinne, Wallonia (Belgique)

Viewed 192 times, downloaded 23 times

Itinerary description

De: Rue de Bauce, 5020 Namur, Wallonie, Belgique

À: 5020 Namur, Wallonie, Belgique



Routage: Le plus court - OSM, Manuellement

Waypoints

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Flawinne

Flawinne est un village, appartenant à la ville belge de Namur située dans la province de Namur en Wallonie.

Le 2 août 1897, l'actuelle section de Belgrade se détacha de la commune de Flawinne pour former une commune indépendante.


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Fort de Suarlée

Fort de Suarlée. Les bombardements allemands commencent le dimanche 23 août. Le lendemain, les soldats belges constatent d’importants dégâts sur le côté gauche du fort, ainsi qu’une brèche. Le fort résiste quand même à plus de 1500 coups d’artillerie. Le soir, les soldats belges repoussent une charge d’infanterie ennemie. Le 25 août, les Allemands attaquent à revers. Ils utilisent des obusiers de 23, 30.5 et 42 cm. Une nouvelle fois plus de 1500 obus tombent sur des parties importantes du fort, faisant des ravages considérables. Une centaine de victimes sont à déplorer : certains meurent dans l’éboulement d’une partie du fort, alors que d’autres sont mortellement asphyxiés.   Les Belges n’ont d’autre choix que de se rendre. Au total dans le fort de Suarlée se trouvaient  350 artilleurs, 90 fantassins, 4 officiers et 3 médecins. Extrait de la citation à l’Ordre du Jour de l’Armée, après la reddition : "A opposé à l'ennemi une longue résistance ; soumise pendant les journées des 23, 24 et 25 août 1914 à un bombardement violent auquel participèrent les pièces de 420, la garnison, constamment maintenue dans l'esprit du devoir par l'énergie de son chef, le Capitaine-Commandant Moisse, fit preuve d'activité et de courage et ne capitula que lorsque l'ouvrage fut entièrement ruiné".

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Fort de Suarlée

Le fort de Suarlée est l'un des 9 forts construit entre 1888 et 1891 autour de Namur en Belgique conjointement à ceux de Liège afin de défendre la neutralité du pays contre les velléités françaises ou allemandes qui étaient susceptibles d'emprunter la vallée de la Meuse pour s'envahir. Tous ces forts ont été conçus par le général Henri Alexis Brialmont et mettent en œuvre un béton non armé, matériau assez novateur à l'époque, et pas totalement maitrisé . Il est positionné au nord-ouest de la ville, entre les entités de Suarlée, Rhisnes et Saint-Servais .
Les forts de Brialmont adoptaient tous une forme polygonale élémentaire afin de simplifier la défense de leurs fossés . Suarlée a donc une forme triangulaire à base concave. Il est l'un des plus grands ouvrages en superficie, notamment parce qu'il était l'ouvrage-école du Régiment de Forteresse de Namur.

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Fort d'Émines

Le fort d'Emines construit entre les villages d'Émines et de Saint-Marc, est l'un des 9 forts construits entre 1888 et 1892 autour de Namur en Belgique conjointement à ceux de Liège, afin de défendre la neutralité du pays contre les velléités françaises qui étaient susceptibles d'emprunter la vallée de la Meuse pour s'envahir l'un l'autre en bafouant la neutralité belge au passage. Tous ces forts ont été conçus par le général Henri Alexis Brialmont et mettent en œuvre un béton non-armé, matériau assez novateur à l'époque. Il est positionné au nord de la ville et est considéré comme l'un des "petits" forts de la ceinture namuroise.

En 1914, les bombardements sur le fort débutent le 23 août avec des tirs de petit calibre, alors que l'artillerie allemande a déjà perforé la ceinture namuroise en concentrant son attaque sur Marchovelette, Maizeret et Andoy , les forts les plus à l'est, qui ont été mis hors jeu, provoquant la décision d'évacuer la garnison de la ville. Les Allemands, ayant appris lors du siège de Liège que la prise de ces forts par l'infanterie était trop coûteuse en vies, mirent en œuvre leurs pièces les plus lourdes . Le fort d'Émines succombera sous ces obusiers lourds le 24 août.
Il sera renforcé comme les autres forts par l'occupant, qui le dotera notamment


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Fort d'Emines

Fort d’Emines. Suivant les notes du brigadier Albert Michaux : Le samedi 22 août, le fort commence à tirer sur les Allemands qui tentent de mettre en place des batteries. Cette opération continue toute la journée jusqu’au lendemain. Là, les soldats ennemis entament leurs représailles, mais ils ne font que très peu de dégât. Après un court cessé le feu vers 16h, les tirs reprennent, faisant encore des pertes dans les rangs allemands. Le 24 au matin, les premiers obus allemands touchent le fort faisant rapidement d’importants dégâts. Le bombardement continue toute la journée. Très vite le gaz et les fumées, causées par les explosions, s’engouffrent dans les différentes parties du fort. « Comme les Allemands tiraient de très loin, il était impossible de savoir où ils se trouvaient et nous ne pouvions riposter. (…) La situation devient plus terrible encore, (…) voyant que cela ne cessait pas, je commençai à craindre une issue fatale. Il était certain que le fort ne résisterait plus beaucoup. ». Vers 15h, le 1er chef prend la décision de la reddition. Tous les hommes se placent dans le massif central. Quelques instants plus tard, les officiers allemands arrivent dans le fort et assurent que les soldats belges, qui sont fait prisonniers, seront bien traités. « Je dois rendre justice aux Allemands (…), car ils ne sont pas tous les mêmes, qu’ils furent très convenables et même gentils avec nous. ». Le fort quant à lui, n’est plus qu’une ruine.

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Daussoulx

Daussoulx [dosu] est une section de la ville belge de Namur située en Région wallonne dans la province de Namur.

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Fort de Cognelée

Fort de Cognelée. Le jeudi 20 août, les premiers combats s’engagent entre les Allemands et les Belges aux alentours de Franc-Waret. Le fort commence à tirer sur des soldats qui se retranchent dans le bois de Tronquoy. Le lendemain, des attaques sont lancées dans le secteur Cognelée-Meuse. Le village, quant à lui, est bombardé par les forces allemandes. 23 obus tombent sur Cognelée anéantissant, en partie, l’église et d’autres bâtiments. Ce n’est que le samedi que les premiers obus atteignent le fort. Les bombardements durent toute l’après-midi. La mise hors service d’une coupole seulement est à déplorer. Certains soldats belges sont brûlés à cause des poches de gaz. La nuit du samedi au dimanche reste calme. Mais dès le petit matin, les bombardements reprennent de plus belle, avec une violence plus forte que la veille. Vers 11h30, un obus réussi à créer une brèche dans la partie centrale du fort.   16 soldats sont tués, d’autres sont grièvement blessés. Au final,  c’est le désarroi dans le fort. Il ne faut alors plus beaucoup de temps aux Allemands pour en prendre possession.

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Trieux des Mines

Le Trieux des Mines : un nom de rue comme trace historique Un monument, une plaque ou un nom de rue sont des documents sociaux et historiques qui fournissent des informations primaires sur une personnalité ou un événement, sur son passé, celui de sa commune, de sa région. Ils reflètent les opinions et les valeurs défendues par une société, un groupe, une commune, un pays à une certaine époque. Ils répondent à un souhait de transmission et de commémoration. De plus, ils fournissent un support utile à toute personne qui désire comprendre l’histoire en partant d’un élément concret de la réalité, au sujet duquel on va s’interroger, formuler des hypothèses… Il n’est pas rare, lors d’une promenade autour de Namur de rencontrer une plaque indicatrice portant l’inscription « Chemin militaire », ou encore la mention « rue du fort de… ». Ces chemins se trouvent sur les terrains acquis ou expropriés par la Défense Nationale lors de la construction des forts et n’ont d’autre but que de faciliter les relations entre les ouvrages.. Toutes ces appellations (rue du fort de Cognelée, chemin militaire, rue Trieux des Mines) ont donc un lien direct avec la présence des forts à proximité. 

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Traces du Parc à Zeppelin

Hangars à zeppelins. Le zeppelin, est un aérostat de type dirigeable (plus léger que l’air) à coque rigide. Il doit son nom à son créateur : l’allemand Ferdinand Von Zeppelin. Le zeppelin, à la différence du dirigeable souple, est constitué d’une enveloppe externe aérodynamique montée sur une structure rigide. L’intérieur est constitué de plusieurs ballons séparés (appelés cellules) composés d’un gaz plus léger que l’air (le plus souvent de l’hydrogène ou de l’hélium). Une cabine, pour contenir les passagers et les pilotes, est ajoutée dans le bas du cadre. Pour finir, des moteurs à combustion interne fournissent l’énergie de propulsion nécessaire. Von Zeppelin commençe la construction de son prototype dès la fin du 19e siècle. À sa mort en 1917, Hugo Eckener lui succède et fait prospérer l’industrie jusque dans les années 30. Ensuite, avec la montée du nazisme, la compagnie Zeppelin est nationalisée. L’industrie ferme définitivement ses portes après le fameux incendie du LZ129 Hindenburg (le plus grand zeppelin jamais construit) le 6 mai 1937. 115 zeppelins sont utilisés pendant la Première Guerre mondiale (surtout pour le bombardement et pour la reconnaissance aérienne).   Nombre Posés en territoire ennemi 7 Détruits en vol 17 Détruits à l’atterrissage 19 Détruits accidentellement 26 Détruits en hangar 8 Endommagés 7 Transférés aux Alliés 9 Détruits par l’Allemagne 22  

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Le patrimoine mémoriel de la Grande Guerre

Le patrimoine mémoriel. Les stigmates de la Première Guerre mondiale sont nombreux sur le territoire de la Belgique, au lendemain de l’Armistice. Le choc qu’a reçu le peuple belge est tel, qu’il a très vite mis en place un mouvement commémoratif dont le but est de garder en mémoire ce qu’il s’est passé. La période allant de 1918 à 1924 peut être considérée comme l’âge d’or des monuments aux morts. Après l’ivresse et la joie que procure la libération, se met rapidement en place les premières commémorations. Le 22 novembre 1918, Bruxelles se prépare à accueillir le roi et les armées vainqueurs. Outre des mats arborant les drapeaux belges et alliés, huit monuments en stuc  sont construits à la hâte sur les différentes places de la capitale. Dans presque tous les villages, des souscriptions publiques permettent d’érige des monuments commémoratifs afin de rendre hommage aux soldats morts pour la Patrie, et aux civils massacrés ou déportés. L’érection de ces différentes structures amène à chaque fois une même foule immense de citoyens belges voulant respecter la mémoire de ceux tombés pendant ces quatre années de conflit.

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Cimetière de Champion

Cimetière militaire de Champion Un nouveau logiciel est mis à la disposition du public pour retrouver un ancêtre ayant servi dans l’armée belge. Il s’agit d’une banque de données numériques créée par le Musée royal de l’Armée et d’Histoire militaire, dans laquelle il est possible de retrouver les noms des officiers, sous-officiers et soldats belges qui ont participé à la Première Guerre mondiale. Lien : http://klm-mraiwp.bh-a.eu/fmi/iwp/cgi?-db=DossiersOfficiers&-loadframes

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Fort de Marchovelette

Le fort de Marchovelette. C’est à 10h, le vendredi 21 août, que les premiers obus allemands s’abattent sur le fort. À ce moment-là, des soldats sont encore en train de placer des systèmes de défense à l’extérieur du fort. Le bombardement est d’une intensité folle, en moyenne 4 obus tombent toutes les minutes. Les différentes coupoles sont très vite mises en hors d’état. À midi, il y a déjà quatre brèches qui donnent sur l’extérieur. Pendant la nuit, le général Michel envoie des renforts. Les soldats du fort s’afférent, entre temps, à réparer certaines des coupoles endommagées. Le lendemain, les bombardements s’arrêtent…mais pas pour longtemps, les canons prussiens de 42 cm prennent le relais et font de plus en plus de ravages. Le dimanche 23, un énorme déluge d’obus atteint le fort à 13h45. La salle des machines s’arrête, c’est l’obscurité à l’intérieur. Le massif central est en ruines. Mais heureusement la poudrière, qui contenait plusieurs milliers de kilos de poudres, n’est pas touchée. Des poches de gaz se créent également. Plusieurs soldats sont grièvement brûlés, d’autres meurent après avoir suffoqués pendant de longues minutes. Au final, les Belges agitent le drapeau blanc, et les Allemands entrent dans le fort, pour en prendre possession. Un officier allemand ira même jusqu’à féliciter les responsable du fort de leur conduite héroïque.

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Abbaye de Marche-les-Dames

L'abbaye de Marche-les-Dames se trouvait autrefois dans la section Marche-les-Dames, en Belgique, dans la Province de Namur. Fondée en 1103, la communauté de moniales se rallia à l'ordre cistercien un siècle plus tard. L'abbaye fut officiellement supprimée en 1796. Ses bâtiments furent ensuite utilisés par différentes œuvres ou associations de l'Église. De septembre 2014 à juin 2016, l'ancienne abbaye abritait des prêtres de la Fraternité des Saints Apôtres et de futurs prêtres en formation.

L’abbaye de Marche-les-Dames se trouve dans la section Marche-les-Dames de la ville de Namur, en Belgique, à une dizaine de kilomètres en aval du Chef-lieu de la Province de Namur, sur la rive gauche d'un ruisseau qui se jette directement dans la Meuse. À vol d'oiseau, Marche-les-Dames est située à 7 km à l'Est de Namur.


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L’ancienne abbaye Notre-Dame du Vivier

L’ancienne abbaye Notre-Dame du Vivier est un grand ensemble cistercien mentionné dès 1236. Le monastère est vendu à la révolution française et racheté par l’évêché de Namur qui le loua entre autres à l’IATA (Institut des Arts et Techniques Artisanales de Namur) comme pensionnat, aux Petites Sœurs de Bethléem, etc. L’abbaye comprend un quadrilatère formé de l’église,  d’un cloître, d’une hôtellerie et des bâtiments conventuels. Les édifices en moellon calcaire datent principalement du Moyen Âge, tandis que les constructions en brique et pierre bleue sur soubassement de calcaire ont été ajoutés durant les Temps Modernes et notamment au XVIIIe siècle. L’ensemble marqué par des ajouts et des transformations n’en garde par moins son caractère exceptionnel reconnu par son classement et par son inscription au patrimoine exceptionnel de Wallonie. L’église date du XIIIe siècle mais a été reconstruite en 1904 dans un esprit de reconstitution archéologique. Composée d’une mononef, l’église est fermée par un chœur à chevet plat annexé de deux chapelles. L’accès est marqué par un grand portail en plein cintre du XVIe siècle gothico-renaissant. Classement : 22-01-1969 Patrimoine exceptionnel de Wallonie  

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Rochers de Marche-les-Dames

Les Rochers de Marche-les-Dames forment un groupe rocheux situé sur la rive gauche de la Meuse, à la sortie de Namur, en Belgique. Très prisé des amateurs d'escalade le groupe rocheux fait partie du Patrimoine majeur de Wallonie. C'est lors de l'escalade d'un de ces rochers que le roi Albert Ier trouva la mort le 17 février 1934.
Après Freÿr, Marche-Les-Dames est le deuxième site en importance du pays. Ce petit groupe rocheux, s’étend sur 2,3 km le long de la rive gauche de la Meuse, en aval de Namur. On dénombre 9 rochers en amont du camp commando: 7 sont situés à l’intérieur du camp et 7 autres en aval du camp.

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Namêche

Namêche est une section de la ville belge d'Andenne située en Région wallonne dans la province de Namur.
Namêche possède une longue tradition carrière. L’exploitation de la pierre calcaire et de la dolomie y constitue une activité économique ancienne. Cette exploitation explique la présence à Namêche d’un grand nombre de maisons ouvrières en pierre datant du XIXe siècle, étagées à flanc de falaise et construites dans un style mosan typique et non dénué d’intérêt. On y trouve également quelques belles fermes en pierre.

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Forteresse de Samson

Forteresse de Samson Le site fortif é du Samson dont on ne voit plus que des ruines aurait donné son nom au village. Ce site de défense, idéalement situé sur un promontoire surplombant la route de Gramptinne, fut notamment occupé par les Romains ; Jules César y aurait établit un camp retranché. Des fouilles ont également révélé l’existence de tombes, de pièces de monnaie ainsi que d’objets datant de l’occupation du site par les Francs et les Mérovingiens. La forteresse de Samson était divisée en trois enceintes : un terrain rocailleux, une basse cour et des communs ainsi qu’au delà d’un pont-levis, l’habitation du châtelain et son donjon. Les habitants du village étaient exempts de taxes en contrepartie d’un tour de garde de la forteresse. Celle-ci fût assiégée en vain par les Normands au 9 e siècle. Le dernier siège du château eut lieu au 16 e siècle, du temps de Don Juan d’Autriche. Le château fut finalement démoli sur ordre du Roi Charles II d’Espagne en 1690.

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Fort de Maizeret

Le fort de Maizeret. Durant la journée du 20 août 1914, plusieurs  civils sont réquisitionnés pour la mise en place de systèmes de défense autour du fort (tranchées, fils barbelés, mines, arbres coupés, etc.). Mais déjà des Allemands sont aperçus aux alentours. Le vendredi 21, les premiers bombardements atteignent les villages de Maizeret et Samson, causant beaucoup de dommages. Le commandant Poncelet ordonne alors qu’on tire depuis la coupole de 15, sur les forces allemandes. Après quelques instants, ces dernières, ayant ajusté leur tire, commencent à bombarder le « Fort-du-Diable » (le fort de Maizeret était surnommé ainsi par ses soldats). Le 22 août, les bombardements continuent. Les dégâts sont tels, qu’au soir, le commandant Poncelet ordonne de quitter le fort. Les soldats fuient leurs positions, beaucoup sont grièvement blessés ou brulés. À 13h le lendemain, quelques Allemands plantent leur drapeau au sommet du fort, sans essuyer de tirs belges. Ils sont rejoints ensuite, pas leurs compatriotes avec des hurlements de joie.

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Loyers

Loyers [lwajɛʁs] est une section de la ville belge de Namur située en Région wallonne dans la province de Namur.
D'après certaines sources , "Loyers" viendrait du dérivé latinisé "leiarium" - terre rocheuse en référence aux nombreuses carrières dans la localité. On trouvait aussi les graphies : "Loiu" , "Loieu" , "Loies" , "Loier" , "Loiers" .

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Fort d'Andoy

Le fort d’Andoy. Le 20 août 1914, le fort tire ses premiers obus sur des batteries allemandes qui se trouvent au château d’Arville et sur les hauteurs de Wierde. 18 maisons sont dynamitées pour dégager le champ de vision des Belges. Le lendemain, dès 11h, les Allemands ripostent avec une série de bombardements qui ne cessa que 72 heures plus tard. Le but étant de laisser faire le plus gros du travail à l’artillerie, avant de prendre le fort avec l’infantrie. L’armement belge est dépassé. Les Allemands, hors de portée, tirent avec leurs puissants canons de 30.5 et de 42 cm, font d’importants dégâts. Témoignage Commandant Nollet : «On a l'impression que tout le fort tremble et s'enfonce. Après le choc, un silence relatif se produit, et au bout de quelques secondes, une avalanche de débris retombe sur le fort et dans les fossés avec un bruit assourdissant". Le 23, les Belges tentent de pilonner les Allemands sur la Meuse et dans le bois de Mozet. Mais les coupoles sont rapidement détruites. Le massif central menace de s’effondrer, alors que des débris de béton et d’acier bouchent les ventilations. Cela a comme conséquence de surchauffer la salle des machines. Une partie des soldats commence à suffoquer à cause des gaz des explosions. 17 soldats belges trouvent la mort lors de ces évènements. Pour éviter que ses hommes ne périssent sous l’effondrement du fort, le Commandant Nollet décide de se rendre le 24 vers 11h.

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Andoy

Andoy est un village de la section de Wierde de la ville belge de Namur située en Région wallonne dans la province de Namur et dans le Condroz.

Le village est situé entre l'E411 et la N4 dans l'Ardenne condrusienne, et compte environ 250 habitants.


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Fort de Dave

Le fort de Dave. Avant l’arrivée des Allemands, des civils sont réquisitionnés pour divers travaux allant de simples entretiens à la mise en place de tranchées et d’abris autour du fort. Le jeudi 19 août, des premières escarmouches se déroulent dans la forêt de Dave. Ensuite les Allemands, positionnés à Andoy, tirent les premiers obus qui tombent non loin du fort. Durant les journées du 20 et 21, le fort n’est à aucun moment touché par le feu ennemi. Le 22, les Belges tirent en directions des Allemands. Ces derniers ont, pour la première fois, le fort de Dave dans leur ligne de mire de manière précise. À partir du dimanche 23, un siège se met en place. Le fort est alors pilonné de manière intensive. Au même moment, les troupes belges et françaises se trouvant dans les intervalles battent en retraite. Le 24, le fort tente de répliquer, mais l’artillerie allemande fait la différence. Finalement, le lendemain, dans l’après-midi les Belges sont contraints de se rendre. Après cette reddition, un Davois, Jules Denison, accompagne le curé au fort : « Nous nous sommes rendus là-haut à travers les trous d’obus et les arbres abattus, au péril de notre vie. (…) Là, un commandant allemand rassura le curé en lui annonçant qu’il n’y avait ni blessés, ni tués. ». Presque 400 hommes se trouvaient à l’intérieur du fort lors de ces événements.

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Île de Dave

L'île de Dave est l'une des plus grandes îles de Belgique, sur la Meuse, à environ 5 kilomètres au sud de la ville de Namur en Région wallonne. L’île est une réserve naturelle riche en faune, surtout ornithologique, et en flore.

L'île de Dave est située sur la Meuse à environ 5 kilomètres au sud de la ville de Namur en Région wallonne. Elle se trouve à proximité des villages de Dave et de Wépion, séparés par le fleuve.


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Les villas mosanes

Un autre chapitre de la belle histoire de Wépion va se développer le long de cette rive gauche de la Meuse, lieu de vie, de passage et de tourisme, avec l’apparition des célèbres « villas mosanes ». A partir de 1880, des banquiers, des ingénieurs, des hauts magistrats venus de Bruxelles ou Charleroi, découvrent les charmes des bords de Meuse  et y construisent  de superbes maisons pour y passer leurs vacances. Ces orgueilleuses habitations, installées dans des beaux jardins, se caractérisent par des entrées monumentales, par la variété des matériaux utilisés, par de grandes fenêtres et des galeries extérieures ouvertes vers le paysage, par des toits compliqués et surtout par la présence d’une haute tour (carrée ou ronde), symbole de la richesse ou du pouvoir.

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Dave

Dave est un village en bord de Meuse à sept kilomètres de la ville de Namur à laquelle il est administrativement rattaché . C'était une commune à part entière jusqu'à la fusion des communes de 1977.
Le château Fernan Nunez ou château de Dave est sis en bord de Meuse. Il a été construit au XIVe siècle, mais fut ruiné et par la suite rebâti, transformé et agrandi aux XVIIIe et XIXe siècles par les ducs Fernan Nunez.

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